Le SPEG (Syndicat des Personnels de l’Éducation en Guadeloupe) tiendra une assemblée générale, lundi 14 janvier à 12 heures sur le campus universitaire de Fouillole à Pointe-à-Pitre. Ses membres pointent du doigt la répartition des moyens entre les pôles universitaires de Martinique et de Guadeloupe
C'est la mobilisation sur le campus de Fouilole ce lundi 14 janvier 2019 à 12 heures.Il sera question de la répartition des moyens entre les pôles universitaires de Martinique et de Guadeloupe.
Le SPEG (Syndicat des Personnels de l’Education en Guadeloupe) organise une assemblée générale et entend dénoncer un manque de moyens.
Ses membres pointent du doigt notamment un déséquilibre entre les moyens mis à disposition des deux pôles.
Frédéric Gerardin secrétaire adjoint en charge du supérieur au SPEG avec
Franck Aristide de Guadeloupe la 1ère.
Selon les clés de répartition, un rééquilibrage financier de 7 millions d'euros s’impose au profit du pôle universitaire de Fouillole plus pourvu en étudiants.
"Cette différence est répartie sur 10 ans à raison de 600 000 euros par an." Eustase Janky le président de l’université a précisé los du conseil d'administration du 27 novembre dernier "qu’il n’était pas question de prendre de l’argent ou des enseignants de la Martinique pour les mettre en Guadeloupe".
La présidence de l’Université compte agir sur les postes vacants. La réflexion sera poursuivie avant mars 2019 par une commission d’élus des deux pôles.
Le SPEG (Syndicat des Personnels de l’Education en Guadeloupe) organise une assemblée générale et entend dénoncer un manque de moyens.
Ses membres pointent du doigt notamment un déséquilibre entre les moyens mis à disposition des deux pôles.
Frédéric Gerardin
Franck Aristide de Guadeloupe la 1ère.
Les moyens font débat
Selon les clés de répartition, un rééquilibrage financier de 7 millions d'euros s’impose au profit du pôle universitaire de Fouillole plus pourvu en étudiants.
"Cette différence est répartie sur 10 ans à raison de 600 000 euros par an." Eustase Janky le président de l’université a précisé los du conseil d'administration du 27 novembre dernier "qu’il n’était pas question de prendre de l’argent ou des enseignants de la Martinique pour les mettre en Guadeloupe".
La présidence de l’Université compte agir sur les postes vacants. La réflexion sera poursuivie avant mars 2019 par une commission d’élus des deux pôles.