Depuis 5 ans, la Chambre Régionale des Comptes avait demandé au conseil municipal de Case-Pilote de rétablir l’équilibre budgétaire, (au plus tard pour le 31 décembre 2019), en mettant en œuvre un certain nombre de mesures afin de réduire ses charges. C'est fait !
Le déficit du compte administratif 2013 de la commune de Case-Pilote s’élevait à près de 4 millions d’euros.
Un plan de redressement a donc été suivi à la lettre sur les dépenses de fonctionnement et il a fallu "serrer des boulons", explique le maire Ralph Monplaisir, qui a dû parallèlement augmenter les impôts l’an dernier.
La population a dû elle aussi contribuer à ces mesures de redressement, puisque les impôts locaux ont augmenté en 2018, avant une baisse annoncée pour cette année par le premier magistrat. Ce dernier se targue même d’un excédent de 600 000 euros.
Il faut ajouter également que la commune devait régler des dettes en cours, alors qu’elle a perdu entre-temps (en 2009), les recettes du fonds départemental de péréquation de la Taxe Professionnelles, soit 650 000 € par an.
Un plan de redressement a donc été suivi à la lettre sur les dépenses de fonctionnement et il a fallu "serrer des boulons", explique le maire Ralph Monplaisir, qui a dû parallèlement augmenter les impôts l’an dernier.
Ralph Monplaisir
3 964 350,28 €, c’est le montant du déficit qu’il fallait absolument résorber ces cinq dernières années à Case-Pilote et c’est la section fonctionnement qui a particulièrement plombé le compte administratif de la ville reconnaît le maire Ralph Monplaisir, d’où les recommandations de la Chambre Régionale des Comptes en 2014.
Il a fallu notamment maîtriser les charges de personnels et à caractère général, éviter le remplacement des agents partant en retraite, ou encore ne pas renouveler des contrats de non titulaires.Le maire annonce une prochaine baisse des impôts
La population a dû elle aussi contribuer à ces mesures de redressement, puisque les impôts locaux ont augmenté en 2018, avant une baisse annoncée pour cette année par le premier magistrat. Ce dernier se targue même d’un excédent de 600 000 euros.
Il faut ajouter également que la commune devait régler des dettes en cours, alors qu’elle a perdu entre-temps (en 2009), les recettes du fonds départemental de péréquation de la Taxe Professionnelles, soit 650 000 € par an.