La ville du Lorrain envisage de se doter d’une plantothèque. Il s'agit d'une sorte de pharmacie d’urgence à ciel ouvert qui prendra le relais, si les pharmacies situées dans le bourg, au niveau de la mer, sont en endommagées par un aléa climatique.
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Les plantes médicinales pour se soigner : un choix que certains ont déjà fait mais qui pourrait bien se généraliser, notamment en cas de catastrophe naturelle.
Et comme vaut mieux prévenir que guérir, la ville du Lorrain envisage de se doter d’une plantothèque, une sorte de pharmacie d’urgence à ciel ouvert, qui prendra le relais si les pharmacies situées dans le bourg, au niveau de la mer, sont en endommagées par un aléa climatique.
Lydie est une retraitée, résidente à la cité Séguineau. Elle consacre son temps libre à son jardin créole, qu’elle partage avec les autres habitants du quartier. Des jeunes en insertion leur prêtent également main forte, encadrés par deux associations. Le jardin partagé de Séguineau a été inauguré en 2012, dans un objectif de cohésion sociale, "mais aussi pour proposer une alternative à la chlordécone", explique Olivier Jean Denis, un des conseillers municipaux du Lorrain.
Se prémunir contre la chlordécone mais aussi, contre les aléas climatiques. C’est l’objectif de la municipalité du Lorrain qui compte développer également, une plantothèque qui se trouvera sur le même site que le jardin partagé. La parcelle qui lui sera consacrée est encore en friche. Mais elle devrait sortir de terre, pour la "semaine Réplik", semaine de sensibilisation au risque sismique, prévue en octobre prochain.
Cette plantothèque se trouvera à la cité Séguineau, sur une parcelle déjà occupée en partie, par un jardin créole partagé, entretenu par les résidents. Il est issu du programme des Jardins Familiaux (JAFA), mis en place après le scandale sanitaire du chlordécone.
Un jardin pour favoriser la cohésion sociale
Lydie est une retraitée, résidente à la cité Séguineau. Elle consacre son temps libre à son jardin créole, qu’elle partage avec les autres habitants du quartier. Des jeunes en insertion leur prêtent également main forte, encadrés par deux associations. Le jardin partagé de Séguineau a été inauguré en 2012, dans un objectif de cohésion sociale, "mais aussi pour proposer une alternative à la chlordécone", explique Olivier Jean Denis, un des conseillers municipaux du Lorrain.
La plantothèque devrait sortir de terre, pour la "semaine Réplik"
Se prémunir contre la chlordécone mais aussi, contre les aléas climatiques. C’est l’objectif de la municipalité du Lorrain qui compte développer également, une plantothèque qui se trouvera sur le même site que le jardin partagé. La parcelle qui lui sera consacrée est encore en friche. Mais elle devrait sortir de terre, pour la "semaine Réplik", semaine de sensibilisation au risque sismique, prévue en octobre prochain.
Cette plantothèque se trouvera à la cité Séguineau, sur une parcelle déjà occupée en partie, par un jardin créole partagé, entretenu par les résidents. Il est issu du programme des Jardins Familiaux (JAFA), mis en place après le scandale sanitaire du chlordécone.