Le sous-préfet, le maire de Saint-Pierre et les ingénieurs du BRGM, ont présenté hier soir (22 février) à Saint-Pierre, aux habitants concernés, le plan de sécurité après l'éboulement de la falaise du Morne d'Orange (30-01-2016). La mairie attend l'aide de la CTM.
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Étienne Guillet, sous-préfet de Saint-Pierre et de Trinité, Christian Rapha, maire de Saint-Pierre et les ingénieurs du BRGM, (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), ont rencontré lundi après-midi (22 février), les habitants de la cité vieux lycée, à Saint-Pierre, chez l'un d'entre eux, dont les maisons sont menacées par la falaise du Morne d'Orange, depuis janvier dernier, après un autre incident de même nature en septembre 2015.
Les ingénieurs confirment qu'un éboulement rocheux peut survenir à tout moment et le risque de gros mouvements de terrain est important. "Plusieurs familles sont exposées", indique le maire de la ville d'art et d'histoire."15 à 20 familles en haut de la falaise, entre 5 et 10, en bas, cité vieux lycée"."C'est Dieu qui fait ses affaires, nous sommes là, on attend", dit avec fatalisme l'un des plus anciens habitants du quartier, présent lors de cette réunion d'information.
Avec ses moyens, la mairie veut d'abord protéger les maisons les plus exposées, et procéder à une sécurisation de la montée du Morne d'Orange par des glissières de sécurité. Une première estimation d'une société spécialisée, avance la somme de plus d'un million d'euros de travaux. "Un montant bien au-delà de la capacité de la ville", explique Christian Rapha.
Le maire qui annonce un plan de sauvegarde avec l'aide de L'État, en attendant des travaux plus importants, "qui nécessitent l'intervention de la CTM, j'ai besoin de la CTM pour mettre en sécurité des Martiniquais", plaide le maire qui a déploré l'absence d'un de ses représentants lors de cette rencontre avec la population. "En ma qualité de Conseiller Exécutif ayant en charge les infrastructures routières, je n'ai reçu aucune invitation du maire de Saint-Pierre", se défend Daniel Marie-Sainte...
Les ingénieurs confirment qu'un éboulement rocheux peut survenir à tout moment et le risque de gros mouvements de terrain est important. "Plusieurs familles sont exposées", indique le maire de la ville d'art et d'histoire."15 à 20 familles en haut de la falaise, entre 5 et 10, en bas, cité vieux lycée"."C'est Dieu qui fait ses affaires, nous sommes là, on attend", dit avec fatalisme l'un des plus anciens habitants du quartier, présent lors de cette réunion d'information.
"J'ai besoin de la CTM"
(Christian Rapha)
Avec ses moyens, la mairie veut d'abord protéger les maisons les plus exposées, et procéder à une sécurisation de la montée du Morne d'Orange par des glissières de sécurité. Une première estimation d'une société spécialisée, avance la somme de plus d'un million d'euros de travaux. "Un montant bien au-delà de la capacité de la ville", explique Christian Rapha.
Le maire qui annonce un plan de sauvegarde avec l'aide de L'État, en attendant des travaux plus importants, "qui nécessitent l'intervention de la CTM, j'ai besoin de la CTM pour mettre en sécurité des Martiniquais", plaide le maire qui a déploré l'absence d'un de ses représentants lors de cette rencontre avec la population. "En ma qualité de Conseiller Exécutif ayant en charge les infrastructures routières, je n'ai reçu aucune invitation du maire de Saint-Pierre", se défend Daniel Marie-Sainte...