Que pèse l’humanité face au Covid-19 ? La question se pose, vu les dégâts causés par ce nouveau virus.
La pandémie de coronavirus nous révèle au moins deux paradoxes sur notre civilisation du 21e siècle.
Transmis par un pangolin, un petit mammifère d’Asie du sud-est se nourrissant de fourmis, de termites et d'invertébrés, le coronavirus est inconnu dans notre histoire biologique. Sa fulgurante expansion est d’autant plus rapide que nos déplacements sont incessants et aisés.
Plus de 150 États et territoires non indépendants sont confrontés à ses ravages. L’activité sociale y est ralentie comme jamais. La population est confinée dans ses foyers. Les gouvernements sont désemparés. Les experts scientifiques tiennent le haut du pavé. Et notre fragilité apparaît de plus en plus évidente chaque jour.
C’est le second paradoxe révélé par cette crise sans précédent. Aussi bien dans les pays démocratiques que dans les régimes autoritaires comme la Chine, la réponse de l’Etat est sans ambiguïté. Le maître-mot tenant lieu de politique publique : la protection de la population.
L’Organisation mondiale de la santé édicte des recommandations suivies par ses membres, avec des déclinaisons nationales qui peuvent varier ici ou là. Avec un objectif unique, quelle que soit la latitude : arrêter la propagation du virus.
Une tâche effectuée avec l’appui du vaste réseau médiatique qui ne cesse de diffuser des informations crédibles, en dépit des rumeurs véhiculées sur les réseaux sociaux, fondées sur la peur et l’ignorance.
nous a dit le président de la République dans son adresse aux Français, lundi 16 mars 2020. Lui qui a effectué des études de philosophie dans son cursus universitaire, il possède les références théoriques pour réfléchir à la valeur de la civilisation humaine. Laquelle semble menacée aujourd’hui par un organisme microscopique transmis par un inoffensif animal.
Avec cette conclusion : nous sommes vraiment peu de chose.
Le premier tient en la fragilité de l’être humain
Transmis par un pangolin, un petit mammifère d’Asie du sud-est se nourrissant de fourmis, de termites et d'invertébrés, le coronavirus est inconnu dans notre histoire biologique. Sa fulgurante expansion est d’autant plus rapide que nos déplacements sont incessants et aisés.
Plus de 150 États et territoires non indépendants sont confrontés à ses ravages. L’activité sociale y est ralentie comme jamais. La population est confinée dans ses foyers. Les gouvernements sont désemparés. Les experts scientifiques tiennent le haut du pavé. Et notre fragilité apparaît de plus en plus évidente chaque jour.
La solidité de nos institutions dans tous les domaines
C’est le second paradoxe révélé par cette crise sans précédent. Aussi bien dans les pays démocratiques que dans les régimes autoritaires comme la Chine, la réponse de l’Etat est sans ambiguïté. Le maître-mot tenant lieu de politique publique : la protection de la population.
La priorité est à la protection de la population
L’Organisation mondiale de la santé édicte des recommandations suivies par ses membres, avec des déclinaisons nationales qui peuvent varier ici ou là. Avec un objectif unique, quelle que soit la latitude : arrêter la propagation du virus.
Une tâche effectuée avec l’appui du vaste réseau médiatique qui ne cesse de diffuser des informations crédibles, en dépit des rumeurs véhiculées sur les réseaux sociaux, fondées sur la peur et l’ignorance.
"Il y aura un avant et un après "
nous a dit le président de la République dans son adresse aux Français, lundi 16 mars 2020. Lui qui a effectué des études de philosophie dans son cursus universitaire, il possède les références théoriques pour réfléchir à la valeur de la civilisation humaine. Laquelle semble menacée aujourd’hui par un organisme microscopique transmis par un inoffensif animal.
Avec cette conclusion : nous sommes vraiment peu de chose.