Barques amarrées, certaines remontées sur terre, les pêcheurs de M’Tsampéré au sud de Mamoudzou, chef – lieu du département, tournent en rond en regardant leurs outils de travail avec désarroi.
« Rien ne va plus. Nous attendons que les vents et la pluie cessent avant de retourner en mer. Nous vivons ces difficultés durant six mois. Ce sont des congés forcés et non payés Que nous le voulions ou pas, nous n’avons pas le choix. », explique l’un des pêcheurs.
Un autre explique que malgré le manque de revenus, ils sont soumis aux charges sociales.
« Nous n’avons pas fait d’études. Nous n’avons d' autre alternative. Alors nous demandons aux autorités de nous comprendre notamment en ce qui concerne les cotisations et autres obligations vis-à-vis de la caisse de sécurité sociale dont nous ne pouvons pas nous acquitter. Qu’on ne nous force pas à voler ou à tricher. », s' exclame- t - il.
Les pêcheurs - chômeurs déplorent également que malgré cette situation, le prix du kilo de poissons n’a pas changé. Il reste fixé à 5,50 euros.
« Rien ne va plus. Nous attendons que les vents et la pluie cessent avant de retourner en mer. Nous vivons ces difficultés durant six mois. Ce sont des congés forcés et non payés Que nous le voulions ou pas, nous n’avons pas le choix. », explique l’un des pêcheurs.
Un autre explique que malgré le manque de revenus, ils sont soumis aux charges sociales.
« Nous n’avons pas fait d’études. Nous n’avons d' autre alternative. Alors nous demandons aux autorités de nous comprendre notamment en ce qui concerne les cotisations et autres obligations vis-à-vis de la caisse de sécurité sociale dont nous ne pouvons pas nous acquitter. Qu’on ne nous force pas à voler ou à tricher. », s' exclame- t - il.
Les pêcheurs - chômeurs déplorent également que malgré cette situation, le prix du kilo de poissons n’a pas changé. Il reste fixé à 5,50 euros.