Depuis le début du conflit entre Madame Nel et la SMART, le ton n’a pas cessé de monter.
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D’un côté, MCG brandit la décision de justice intimant à la SMART de partir du port de Longoni, et de l’autre, Arlette Henry cogérante de la société mahoraise d’acconage et de transbordement qui rappelle que c’est l’avenir de 189 familles qui est en jeu.
La légitimité est du côté du bénéficiaire de la Délégation de Service Public signée le 3 septembre 2013 entre Ida Nel et Daniel Zaidani.
Depuis, MCG a dû faire face à des mouvements sociaux divers :
-Il y a eu d’abord celui des anciens salariés de la Chambre de Commerce et de l’Industrie (CCI), reversés à leur nouvel employeur, dès décembre 2013. Leur situation contractuelle n’est toujours pas tranchée.
-Et dans un second temps, et jusqu’à ce jour, ce sont essentiellement des escarmouches dans ses relations avec la SMART, à propos de l’activité de manutention au port de Longoni. Le point de non-retour semble avoir été atteint avec le procès et la décision de justice qui exige le départ de la SMART, sous peine d’amende de 5000 euros par jour, dès la semaine prochaine.
Enfin, depuis, dimanche 1er novembre au soir, l’entrée au port est bloquée par des agents de la SMART. Ils demandent le maintien des activités de la SMART et la transformation du port de Longoni en port d’Etat, à l’instar des autres départements d’Outre-mer français.
Une solution qui coûterait très cher au département, qui n’est même pas en mesure d’imposer son arbitrage.
La légitimité est du côté du bénéficiaire de la Délégation de Service Public signée le 3 septembre 2013 entre Ida Nel et Daniel Zaidani.
-Il y a eu d’abord celui des anciens salariés de la Chambre de Commerce et de l’Industrie (CCI), reversés à leur nouvel employeur, dès décembre 2013. Leur situation contractuelle n’est toujours pas tranchée.
-Et dans un second temps, et jusqu’à ce jour, ce sont essentiellement des escarmouches dans ses relations avec la SMART, à propos de l’activité de manutention au port de Longoni. Le point de non-retour semble avoir été atteint avec le procès et la décision de justice qui exige le départ de la SMART, sous peine d’amende de 5000 euros par jour, dès la semaine prochaine.
Enfin, depuis, dimanche 1er novembre au soir, l’entrée au port est bloquée par des agents de la SMART. Ils demandent le maintien des activités de la SMART et la transformation du port de Longoni en port d’Etat, à l’instar des autres départements d’Outre-mer français.
Une solution qui coûterait très cher au département, qui n’est même pas en mesure d’imposer son arbitrage.