A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme, l’acfav (l’association pour la condition féminine et aides aux victimes) a organisé une journée dédiée à la femme sur le thème de la femme dans sa santé au plateau sportif de M'tsapéré.
Elles étaient nombreuses ce matin pour venir s'exprimer sur ce qu'est une femme dynamique. Et pour devenir ce type de femme, il faut d'abord être en bonne santé. "Si la femme est en bonne santé, ça veut dire que toute la famille l'est aussi. La femme en bonne santé implique qu'elle s'occupe de la santé de ces enfants, de son mari. A partir de là, la femme est porteuse de messages car du moment qu'elle est le pillier de la famille, fatalement elle fera en sorte que la famille soit en bonne santé" précise Laini Mogne Mali, trésorière de l'ACFAV.
C'est pourquoi de nombreuses associations telles que l'ireps, Redeca Mayotte ou encore Narike m’sada ont fait le déplacement pour sensibiliser les femmes sur ce qu'est un corps sain. D'autant plus que sur les 250 personnes dépistées positives au VIH à Mayotte, 61% sont des femmes.
Rédiab’ylang était également présent sur le site pour s’assurer de la bonne nutrition des femmes car " ce sont les femmes qui tiennent la maison, l'économie de Mayotte. Si la femme mahoraise n'était pas là, Mayotte n'existerait pas" ajoute la trésorière de l'ACFAV.
C’était aussi l’occasion d’assister à des animations ludiques et porteuses de message. Des jeunes se sont improvisés comédiens pour évoquer des sujets concernant la société mahoraise tels que le mariage forcé. Delixia Perrine, metteur en scène et comédienne veut croire que la femme a le pouvoir de réfréner le sexisme et refuse aujourd'hui qu'elle soit cataloguée au rang de personnes fragiles.
"On a la liberté. On a cette possibilité de faire un autre monde, dire que ce monde-là ne nous correspond pas. On est en butte aux us et coutumes, aux traditions. On remet tout sur le dos de la fatalité mais on a le pouvoir d'enrayer ça. Donc j'encourage les femmes à dire et à faire, qu'on les entende, qu'elles aient un point de vue. On voit bien que le monde moderne et la tradition ça ne marche pas ensemble parce qu'il faut abattre certaines choses."
Pour la comédienne, seule l'écudation fera des nouvelles générations des femmes indépendantes et autonomes. Le traitement des garçons comme des filles doivent être le même. Et pour Delixia Perrine, le travail doit commencer maintenant. Les femmes peuvent désormais et ont le pouvoir de réaliser les mêmes tâches qui étaient réservés aux hommes jusqu'ici.
C'est pourquoi de nombreuses associations telles que l'ireps, Redeca Mayotte ou encore Narike m’sada ont fait le déplacement pour sensibiliser les femmes sur ce qu'est un corps sain. D'autant plus que sur les 250 personnes dépistées positives au VIH à Mayotte, 61% sont des femmes.
Rédiab’ylang était également présent sur le site pour s’assurer de la bonne nutrition des femmes car " ce sont les femmes qui tiennent la maison, l'économie de Mayotte. Si la femme mahoraise n'était pas là, Mayotte n'existerait pas" ajoute la trésorière de l'ACFAV.
C’était aussi l’occasion d’assister à des animations ludiques et porteuses de message. Des jeunes se sont improvisés comédiens pour évoquer des sujets concernant la société mahoraise tels que le mariage forcé. Delixia Perrine, metteur en scène et comédienne veut croire que la femme a le pouvoir de réfréner le sexisme et refuse aujourd'hui qu'elle soit cataloguée au rang de personnes fragiles.
"On a la liberté. On a cette possibilité de faire un autre monde, dire que ce monde-là ne nous correspond pas. On est en butte aux us et coutumes, aux traditions. On remet tout sur le dos de la fatalité mais on a le pouvoir d'enrayer ça. Donc j'encourage les femmes à dire et à faire, qu'on les entende, qu'elles aient un point de vue. On voit bien que le monde moderne et la tradition ça ne marche pas ensemble parce qu'il faut abattre certaines choses."
Pour la comédienne, seule l'écudation fera des nouvelles générations des femmes indépendantes et autonomes. Le traitement des garçons comme des filles doivent être le même. Et pour Delixia Perrine, le travail doit commencer maintenant. Les femmes peuvent désormais et ont le pouvoir de réaliser les mêmes tâches qui étaient réservés aux hommes jusqu'ici.