Dans l’« affaire Balahache », les deux parties ont fait appel

Le 3 octobre dernier le secrétaire général de la CFDT avait été condamné à 2 mois de prison avec sursis pour rébellion, et relaxé pour outrage et violence.
 
6 jours plus tard le procureur de la République a fait appel de la décision parce que dans cette affaire « il y a eu, en plus de la rébellion, outrage et violence sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Des chefs d’accusation qui n’avaient pas été retenus.Pour Ousséni Blahachi le procureur se comporte en « avocat des gendarmes », alors lui aussi va faire appel.