« Jusqu’à présent le combat que nous avons mené n’a servi à rien » déclare Allaoui Bacar, selon lui « les associations se sont laissées embarquer dans un jeu vicieux. Quand on dirige une association, il faut être apolitique ». Il estime que « certains responsables de ces associations ont peur d’agir ».
Allaoui Bacar salue le travail de la députée « qui fait tout pour qu’on travaille ensemble ». Selon le président des assoiffés, la situation est grave, à l’heure où on commence à parler de coupures qui pourraient aller jusqu’à 48 heures.
« L’usine de dessalement de petite-terre ne fonctionne pas…la troisième retenue collinaire n’est pas encore là ». « Il faut bouger » dit Bacar Allaoui qui promet des plaintes en justice, « les assoiffés vont revenir en force » promet-il.