A l’exception de la commune de Ouangani, un village du centre de l’île, la plupart des communes sont bordées de plages. Des lieux toujours fréquentés et pourtant très dangereux faute de sauveteur et de secouriste.
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Mayotte compte plusieurs dizaines de kilomètres de plages, fréquentées au quotidien par la population.
La présence de professionnels de la sécurité (sauveteur, secouriste) est obligatoire sur les plages aménagées, ce qui n’est pas le cas à Mayotte en ce moment. Seul les titulaires du BNSA, brevet national de sauveteur secouriste aquatique peuvent exercer le métier de sauveteur en mer, une formation qui existe à Mayotte. Sous la responsabilité des communes jusqu’à présent, ces sites sont appelés à entrer dans les compétences des communautés des communes.
Malheureusement, il n’y a aucune réglementation concernant la baignade ni la fréquentation du rivage maritime non aménagé. Les familles qui y vont, s’organisent pour la surveillance des enfants. Tant qu’il n’y a pas d’aménagements, la commune n’a pas d’obligation de mettre en place une surveillance. Par contre des panneaux doivent annoncer cet état de fait.
En cette saison des alizés, la côte Est reste la plus dangereuse avec les déferlantes. A Bandrélé, un projet d’aménagement est en cours, et pour anticiper, la municipalité fait de la sensibilisation et de la prévention avec une association villageoise.
La présence de professionnels de la sécurité (sauveteur, secouriste) est obligatoire sur les plages aménagées, ce qui n’est pas le cas à Mayotte en ce moment. Seul les titulaires du BNSA, brevet national de sauveteur secouriste aquatique peuvent exercer le métier de sauveteur en mer, une formation qui existe à Mayotte. Sous la responsabilité des communes jusqu’à présent, ces sites sont appelés à entrer dans les compétences des communautés des communes.
Malheureusement, il n’y a aucune réglementation concernant la baignade ni la fréquentation du rivage maritime non aménagé. Les familles qui y vont, s’organisent pour la surveillance des enfants. Tant qu’il n’y a pas d’aménagements, la commune n’a pas d’obligation de mettre en place une surveillance. Par contre des panneaux doivent annoncer cet état de fait.
En cette saison des alizés, la côte Est reste la plus dangereuse avec les déferlantes. A Bandrélé, un projet d’aménagement est en cours, et pour anticiper, la municipalité fait de la sensibilisation et de la prévention avec une association villageoise.
Surveillance des plages