La CFDT relaie le mouvement de grogne chez les professionnels des PMI (Protection Maternelle et Infantile) : « Il faudrait que les élus du Conseil Départemental se penchent sur les difficultés des agents au quotidien… si un jour il y a un problème, ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas ».
Le syndicaliste évoque « des locaux inaccessibles aux handicapés et aux personnes âgées ». Par ailleurs, « il n’y a pas moyen d’instruire un dossier en toute discrétion ». Balahachi Ousseni déclare qu’il « ne comprend pas la politique du département qui dispose de locaux comme l’ancienne ARS et l’ancienne Jeunesse et Sports, qu’il a mis à disposition de l’Etat ».
« Les élus nous disent toujours qu’ils viennent d’arriver au pouvoir. Il n’y a pas de continuité du service public. La continuité rime avec médiocrité ».