Les "mamans shingo", les gardiennes de la fabrication du sel de Bandrélé ont eu droit à une très belle fête. Samedi et dimanche, des manifestations ont été organisées en l'honneur d'un patrimoine dont elles assurent la production.
« À Mayotte elles ont apporté le sel qui lui manquait » ! Depuis des siècles les femmes de Bandrélé fabriquent un sel traditionnel.
Ce sont bien les mamans de Bandrélé qui apportent le sel qui relève la cuisine mahoraise. Leur technique millénaire a déjà reçu ses lettres de noblesse. Une substance entièrement naturelle a qui l’on donne des vertus quasiment pharmaceutiques. Il serait moins nocif pour l’organisme et plus toléré pour les hypertendus, nombreux à Mayotte.
Le sel de Bandrélé a son écomusée; un lieu devenu un rendez-vous incontournable pour les touristes de passage; l'écomusée qui est également un des sites les plus visités lors des Journées européennes du patrimoine.
Et c’est pour commémorer cet héritage dont ils sont tellement fiers que durant 2 jours, samedi et dimanche derniers que les habitants de Bandrélé ont organisé de nombreuses manifestations. Et c’est tout Mayotte qui a participé à la fête.
Une autre spécialité devrait bientôt être fêtée ; le fameux « Uré wa djini « à prononcer "Ouré Oi Guini, littéralement, la bave du diable", mais ça, c’est une autre affaire.
Ce sont bien les mamans de Bandrélé qui apportent le sel qui relève la cuisine mahoraise. Leur technique millénaire a déjà reçu ses lettres de noblesse. Une substance entièrement naturelle a qui l’on donne des vertus quasiment pharmaceutiques. Il serait moins nocif pour l’organisme et plus toléré pour les hypertendus, nombreux à Mayotte.
Le sel de Bandrélé a son écomusée; un lieu devenu un rendez-vous incontournable pour les touristes de passage; l'écomusée qui est également un des sites les plus visités lors des Journées européennes du patrimoine.
Et c’est pour commémorer cet héritage dont ils sont tellement fiers que durant 2 jours, samedi et dimanche derniers que les habitants de Bandrélé ont organisé de nombreuses manifestations. Et c’est tout Mayotte qui a participé à la fête.
Une autre spécialité devrait bientôt être fêtée ; le fameux « Uré wa djini « à prononcer "Ouré Oi Guini, littéralement, la bave du diable", mais ça, c’est une autre affaire.
Les "mamans shingo", productrice du sel de Bandrélé ont été mises à l'honneur 2 jours durant.