Les personnels soignants sont à leur poste malgré les obstacles affranchir avant d'arriver au travail.
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Depuis ce mercredi 24 janvier, le nombre de patients journaliers est en baisse et ceci peut s'expliquer par la persistance des barrages dans le Sud.
La rumeur du transfert de migrants qui s'est propagée semble laisser place à la psychose. En effet, les gens semblent plus méfiants.
Ce matin par exemple les pompiers ont eu beaucoup de mal à effectuer le transfert d'un patient vers l'hôpital de Mramadoudou.
Certains "barragistes" voulaient même vérifier s'il n'y avait pas de migrants africains dans l'ambulance. Pour rappel, depuis le début du mouvement, les véhicules de secours sont autorisés à passer les barrages sans encombre.