Mouslim Abdouraman revient de Paris où les élus mahorais ont alerté les autorités sur l’insécurité dans le département :
tous les élus ont parlé d’une même voix, nous étions onze maires, deux vice-présidents du Conseil Départemental, et les quatre parlementaires. Nous avons rencontré les présidents des deux assemblées, le ministre des outremers, des représentants des ministères de l’intérieur et des affaires étrangères.
L’élu déclare aussi que le groupe « a pu mobiliser la presse nationale ».
Le maire de Boueni rappelle les revendications des élus mahorais : «notamment le renforcement des polices municipales, la présence permanente d’un navire de la marine nationale, et l’extension de la zone police à Koungou ».
S’il n’y a pas d’engagements qui aient été pris pour le moment, Mouslim Abdouraman assure :
il y aura des annonces dans un mois, fin novembre, lors de la prochaine visite du ministre de l’intérieur
« Quand on revendique quelque chose, on ne l’a pas d’un coup » concède-t-il