Depuis la fin d’un mouvement social dans ce secteur, les délais d’attente pour un contrôle technique de voiture a été rallongé de plusieurs semaines. Les automobilistes font face à une situation compliquée.
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Il y a beaucoup trop de demandes et très peu d’offres, de possibilité dans ce secteur. Tous les jours de la semaine, des voitures, rangées en file indienne devant les centres agréés de contrôle technique.
Les automobilistes sont inquiets. Le centre de contrôle technique le plus couru est celui situé dans la zone industrielle de Kawéni dans la commune de Mamoudzou. Ces responsables l’avouent, nous travaillons à flux tendu. Une situation identique à celle que nous avions avant le début de la crise sanitaire liée à la Covid-19. Le confinement n’a pas arrangé les choses.
Une chose est sûre, le secteur ne souffre pas de concurrence. En effet, le secteur serait entre les mains d’acteurs économiques déjà installés ici. Mais pour les responsables du centre de Kawéni, si concurrence il y avait, elle constituerait une valeur ajoutée.
Mais la situation actuelle ne peut perdurer au regard de l’augmentation du parc automobile chaque année. Les responsables du centre pensent à une solution « à court terme », qui serait de former des jeunes mahorais pour travailler dans ce secteur et ainsi augmenter les cadences dans le centre. De quoi être optimiste pour l’avenir.
Les automobilistes sont inquiets. Le centre de contrôle technique le plus couru est celui situé dans la zone industrielle de Kawéni dans la commune de Mamoudzou. Ces responsables l’avouent, nous travaillons à flux tendu. Une situation identique à celle que nous avions avant le début de la crise sanitaire liée à la Covid-19. Le confinement n’a pas arrangé les choses.
Une chose est sûre, le secteur ne souffre pas de concurrence. En effet, le secteur serait entre les mains d’acteurs économiques déjà installés ici. Mais pour les responsables du centre de Kawéni, si concurrence il y avait, elle constituerait une valeur ajoutée.
Mais la situation actuelle ne peut perdurer au regard de l’augmentation du parc automobile chaque année. Les responsables du centre pensent à une solution « à court terme », qui serait de former des jeunes mahorais pour travailler dans ce secteur et ainsi augmenter les cadences dans le centre. De quoi être optimiste pour l’avenir.
Il a été difficile de passer un contrôle technique ces derniers temps et les trois centres de l'île, qui acceptent jusqu'à 40 véhicules par jour, sont saturés.