C’est un saut technologique remarquable au service de la police nous informe « la Gazette des Comores » : « Non seulement ces appareils permettront aux autorités d’en finir avec les infractions routières, mais aussi les actes de banditisme » écrit le journal.
Les caméras peuvent travailler jour et nuit, un système infrarouge leur permet d’enregistrer les images dans l’obscurité. Elles liront les plaques d’immatriculation, permettant ainsi aux policiers de remonter jusqu’au propriétaire.
Les sanctions ont d’ailleurs été revues à la hausse. Elles sont très lourdes : 150 euros pour le non port de la ceinture, jusqu’à 1000 euros pour un excès de vitesse. Et que l’on ne compte pas sur les fréquentes coupures de courant pour que les caméras soient hors service : elles sont autonomes, surmontées d’un panneau solaire.