Ils étaient déjà fragilisés par le premier confinement, le couvre-feu et le deuxième confinement ont sonné le glas d’une situation compliquée.
C'est une situation dramatique pour les chauffeurs de taxi de la Petite-terre.
Pour rappel, les communes de la Petite-Terre sont confinées tout comme celle de Boueni depuis le 28 janvier. En Petite-Terre, le couvre-feu suivi du confinement a relenti l'activité des artisans taxis.
L'avenir reste incertain pour beaucoup de professionels dans ce secteur, car la crise sanitaire est en effet loin d'être terminée.
Habituellement, ce sont les passagers qui prennent leur temps pour trouver un taxi disponible. mais ces derniers jours c'est tout le contraire. Alignés presque en file indienne, les véhicules sont en mal de clients. Ils sont très peu à faire une course.
Les clients se font rares, le chiffre d'affaire journalier des taximens s'est effondré. Beaucoup ont peur de faire faillite si la crise sanitaire persiste.