La rentrée est donc désormais effective à Mayotte. Une rentrée qui se fait sous la menace du coronavirus. Et comme certains le craignaient, on compte quelques cas avérés pour l'heure dans certains établissements scolaires.
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Selon le syndicat CGT Educ’action, trois établissements du second degré seraient concernés par un ou plusieurs cas positifs à la Covid-19. Le lycée de Sada, la cité du Nord et le collège de Majicavo dans la commune de Koungou.
A la cité du Nord, deux classes auraient été placées en quarantaine. Au lycée de Sada, la personne testée positive, elle, a été admise en service réanimation au Centre hospitalier de Mayotte. et dès vendredi dernier, le personnel du lycée était invité à se faire tester. Selon nos informations, tous ont eu des résultats négatifs. Vingt autres enseignants de l’établissement doivent être testés dans la semaine.
S'agissant du protocole à suivre en cas de cas avérés dans les établisements scolaires; ce dernier est très strict et il est dicté par l’Agence Régionale de Santé. Il peut aller jusqu’à la fermeture totale de l’établissement par le préfet de région. Selon la CGT Educ’action, les établissements à Mayotte ne respecteraient pas les procédures. Le syndicat dénonce par ailleurs le manque de communication sur le sujet, alors que cela permettrait ici d’éviter l’effet de panique.
Du côté du rectorat de Mayotte, on précise que " les informations sont toujours transmises aux personnels et établissments concernés, et les mesures de précautions sont immédiatement prises"
A la cité du Nord, deux classes auraient été placées en quarantaine. Au lycée de Sada, la personne testée positive, elle, a été admise en service réanimation au Centre hospitalier de Mayotte. et dès vendredi dernier, le personnel du lycée était invité à se faire tester. Selon nos informations, tous ont eu des résultats négatifs. Vingt autres enseignants de l’établissement doivent être testés dans la semaine.
S'agissant du protocole à suivre en cas de cas avérés dans les établisements scolaires; ce dernier est très strict et il est dicté par l’Agence Régionale de Santé. Il peut aller jusqu’à la fermeture totale de l’établissement par le préfet de région. Selon la CGT Educ’action, les établissements à Mayotte ne respecteraient pas les procédures. Le syndicat dénonce par ailleurs le manque de communication sur le sujet, alors que cela permettrait ici d’éviter l’effet de panique.
Du côté du rectorat de Mayotte, on précise que " les informations sont toujours transmises aux personnels et établissments concernés, et les mesures de précautions sont immédiatement prises"