Mettre de l'eau dans les programmes électoraux des candidats aux élections à venir. Ils seraient ainsi plus transparents aux yeux des électeurs assoifés de vérité.
Dans les grands documentaires animaliers, arrive toujours ce moment où tout le monde se rend au point d’eau. On ne distingue plus grand chose. Chasseurs et proies se retrouvent par nécessité autours d’un lac. L’eau, élément vital par excellence devient appât, l'origine de beaucoup de drames.
Et un peu plus tard, les scénaristes finissent par expliquer que, dès que la pluie s’en va, dès que l'eau se rarifie, la vie tourne au ralenti, et certaines espèces disparaîssent. L'eau n'est pas une denrée ni un produit de première nécéssité. Elle est beaucoup plus que cela.L'eau est la vie !
Et c'est ainsi que notre scénariste relance : " il suffit que les nuages apparaissent, que quelques gouttes d'eau viennent s’écraser sur le sol sec et poussiéreux pour que l’herbe poussent ; que les oiseaux rechantent, que les cœurs des animaux en hibernation recommencent à battre normalement."
Oui, l’eau c’est la vie.
La semaine dernière, après les plaintes des parents et les syndicats parce que l’école vacille, au sud de Mayotte, cette fois-ci parce qu’il n’y a pas d’eau dans les robinets ; des élus ont mis entre parenthèses leurs divergences, pour chercher une source. Les mahorais, les électeurs et leurs enfants manquent d’eau.
L’eau, quel beau programme pour un homme politique : " Votez pour moi et vous aurez de l’eau. J’irai chercher une source qui dort peut-être sous vos pieds depuis des années, je creuserai des puits, des retenues collinaires, je récolterai l’eau de pluies ; je dessalerai l’eau de mer sans polluer l’air..."
Paris a débloqué un demi-million d’euros pour arroser les écoles du sud de Mayotte ; le parlement réfléchit au moyen de faire ravitailler Mayotte par bateaux citernes.
Tous mobilisés pour remettre de l’eau dans le lac (y aurait-il le feu ?) ; pour que la vie reprenne dedans et autour. Que chacun reprenne sa place dans le cycle de la vie, le cycle de l'eau.
L'homme serait un animal politique.
Et un peu plus tard, les scénaristes finissent par expliquer que, dès que la pluie s’en va, dès que l'eau se rarifie, la vie tourne au ralenti, et certaines espèces disparaîssent. L'eau n'est pas une denrée ni un produit de première nécéssité. Elle est beaucoup plus que cela.L'eau est la vie !
Et c'est ainsi que notre scénariste relance : " il suffit que les nuages apparaissent, que quelques gouttes d'eau viennent s’écraser sur le sol sec et poussiéreux pour que l’herbe poussent ; que les oiseaux rechantent, que les cœurs des animaux en hibernation recommencent à battre normalement."
Oui, l’eau c’est la vie.
La semaine dernière, après les plaintes des parents et les syndicats parce que l’école vacille, au sud de Mayotte, cette fois-ci parce qu’il n’y a pas d’eau dans les robinets ; des élus ont mis entre parenthèses leurs divergences, pour chercher une source. Les mahorais, les électeurs et leurs enfants manquent d’eau.
L’eau, quel beau programme pour un homme politique : " Votez pour moi et vous aurez de l’eau. J’irai chercher une source qui dort peut-être sous vos pieds depuis des années, je creuserai des puits, des retenues collinaires, je récolterai l’eau de pluies ; je dessalerai l’eau de mer sans polluer l’air..."
Paris a débloqué un demi-million d’euros pour arroser les écoles du sud de Mayotte ; le parlement réfléchit au moyen de faire ravitailler Mayotte par bateaux citernes.
Tous mobilisés pour remettre de l’eau dans le lac (y aurait-il le feu ?) ; pour que la vie reprenne dedans et autour. Que chacun reprenne sa place dans le cycle de la vie, le cycle de l'eau.
L'homme serait un animal politique.