Le rassemblement du Collectif des citoyens samedi dernier a tourné autour de la situation dans l’enseignement. « Les classes sont surchargées et les autorités favoriseraient les inscriptions d’enfants dont les familles sont en situation irrégulière à Mayotte. »
Le Collectif des citoyens de Mayotte continue ses actions contre l’immigration clandestine. Ce sont ses membres qui assiègent le bureau des étrangers de la préfecture de Mamoudzou depuis plus de 2 mois.
En fin de semaine dernière, les manifestants du Collectif des citoyens de Mayotte sont allés fermer le Conseil Départemental pour « sensibiliser » les élus locaux au phénomène de l’immigration clandestine et ses répercussions dans l’éducation. Un rassemblement a été organisé samedi dernier à Mangajou dans la commune de Sada. Dans cette municipalité, une inspectrice d’académie inscrirait en catimini des élèves dont les familles sont en situation irrégulière. Et ce sont ces inscriptions-là que Collectifs dénonce et exige qu’elles ne se fassent plus.
Des syndicats d’enseignants ont manifesté la semaine dernière devant le vice-rectorat pour qu’une solution soit trouvée afin que les élèves étrangers sans papiers valides puissent poursuivre leurs études à Mayotte ou à l’extérieur. Leurs dossiers sont bloqués en préfecture puisque les manifestants s’y opposent ; « tant qu’il n’y aura pas de reconduites, il n’y aura pas de visas ».
En fin de semaine dernière, les manifestants du Collectif des citoyens de Mayotte sont allés fermer le Conseil Départemental pour « sensibiliser » les élus locaux au phénomène de l’immigration clandestine et ses répercussions dans l’éducation. Un rassemblement a été organisé samedi dernier à Mangajou dans la commune de Sada. Dans cette municipalité, une inspectrice d’académie inscrirait en catimini des élèves dont les familles sont en situation irrégulière. Et ce sont ces inscriptions-là que Collectifs dénonce et exige qu’elles ne se fassent plus.
Des syndicats d’enseignants ont manifesté la semaine dernière devant le vice-rectorat pour qu’une solution soit trouvée afin que les élèves étrangers sans papiers valides puissent poursuivre leurs études à Mayotte ou à l’extérieur. Leurs dossiers sont bloqués en préfecture puisque les manifestants s’y opposent ; « tant qu’il n’y aura pas de reconduites, il n’y aura pas de visas ».