C’est une fièvre commerciale qui traverse Mayotte au mois de ramadan. Pratiquement chaque village organise sa foire commerciale.
Il s’agit pour la plupart, de commerçants traditionnels qui viennent participer à ces grandes foires annuelles qui font office de soldes. Mais d’autres ne sont que des « commerçants occasionnels ».
Ils sont partis, eux aussi à Dubaï, en Thaïlande ou en Chine, acheter des marchandises pour venir profiter des foires commerciales et faire des affaires.
Souvent, les municipalités mettent des éspaces à disposition, et des associations villageoises s’occupent de l’organisation.
A Labattoir c’est un plateau sportif polyvalent qui a été mis à disposition. L’installation est en cours, mais la machine est bien rodée et tout va très vite.
A Pamandzi, c’est une route municipale qui a été réquisitionnée et le public s'y rend déjà, régulièrement.
Mais, il y a d’autres organoisations possibles. Dans la commune de Démbéni par exemple, c’est un espace où se tient un petit marché de prêt-à-porter informel durant toute l’année et à l'occasion du marché de ramadan, d'autres commerçants viennent s'y installer pour vendre leurs marcandises.
Les foires communales et villageoises s’installent peu à peu, donc. C’est durant la dernière quinzaine du mois de jeûne que le phénomène prend de l’ampleur ; quand, tous les commerçants finissent de dédouaner leurs containers et qu’ils viennent les dépoter à quelques mètres seulement des lieux où se tiennent les foires.
Aucune grande étude sérieuse n’a été menée pour évaluer la rentabilité de ces marchés, mais chaque année, le phénomène se répète et l’on imagine mal que ces commerçants, surtout les professionnels, n’y trouvent pas leurs comptes.
La question serait de savoir ce qu’en pensent les propriétaires de magasins. Or, ils sont les premiers à réserver des emplacements pour venir tenir des stands; eux ussi.
Ils sont partis, eux aussi à Dubaï, en Thaïlande ou en Chine, acheter des marchandises pour venir profiter des foires commerciales et faire des affaires.
Souvent, les municipalités mettent des éspaces à disposition, et des associations villageoises s’occupent de l’organisation.
A Labattoir c’est un plateau sportif polyvalent qui a été mis à disposition. L’installation est en cours, mais la machine est bien rodée et tout va très vite.
A Pamandzi, c’est une route municipale qui a été réquisitionnée et le public s'y rend déjà, régulièrement.
Mais, il y a d’autres organoisations possibles. Dans la commune de Démbéni par exemple, c’est un espace où se tient un petit marché de prêt-à-porter informel durant toute l’année et à l'occasion du marché de ramadan, d'autres commerçants viennent s'y installer pour vendre leurs marcandises.
Les foires communales et villageoises s’installent peu à peu, donc. C’est durant la dernière quinzaine du mois de jeûne que le phénomène prend de l’ampleur ; quand, tous les commerçants finissent de dédouaner leurs containers et qu’ils viennent les dépoter à quelques mètres seulement des lieux où se tiennent les foires.
Aucune grande étude sérieuse n’a été menée pour évaluer la rentabilité de ces marchés, mais chaque année, le phénomène se répète et l’on imagine mal que ces commerçants, surtout les professionnels, n’y trouvent pas leurs comptes.
La question serait de savoir ce qu’en pensent les propriétaires de magasins. Or, ils sont les premiers à réserver des emplacements pour venir tenir des stands; eux ussi.