Les vendeuses de maïs grillé ont refait leur apparition aux abords des routes de Mayotte et sous les arbres à palabres pour le grand plaisir des adeptes qui sont de plus en plus nombreux.
Le maïs grillé est de retour. C’est l’amuse-bouche du moment. Chaque année à pareille période les vendeurs de maïs s’installent le long des routes et sur le places les plus fréquentées.
Ils s’installent juste à côté des éternelles « mamans brochettis » qui affirment ne pas souffrir de cette concurrence. « Elles sont là juste pour un moment et elles repartent ». Et pourtant, la clientèle est toujours au rendez-vous. Il arrive parfois que des files d’attentes se forment et provoquent de petits embouteillages. Car le chic est de rester dans sa voiture, s’arrêter quelques secondes à hauteur de la « vendeuses-grilleuses » et se faire servir l’épi grillé enveloppé dans ses feuilles naturelles, pas d’aluminium s’il vous plait !
Certaines personnes exigent à ce que la céréale soit grillée jusqu’à la limite de la carbonisation. Elle est ainsi bien noire est salissante. Le maïs est alors croquante et légèrement amère. D’autres l’aiment chaude et mi cuite.
Son prix varie selon l’offre. En début et en fin de la période de récolte, la pièce se vend jusqu’à 2 ou 3 euros, alors qu’elle ne coûte que quelques centimes en ce moment.
Enfin, le maïs n’est considéré comme un plat à part entière, mais un encas, ou un amuse-gueule.
Des « confréries » de consommateurs de maïs existent aux 4 coins de l’île. Des hommes essentiellement se retrouvent en fin d’après-midi autour d’un barbecue de maïs.
Il y a des tentatives pour proposer du maïs bouilli à l’eau, mais les clients mahorais semblent préférer la préparation rustique : une grillade nature sans aucun ingrédient rajouté.
Ils s’installent juste à côté des éternelles « mamans brochettis » qui affirment ne pas souffrir de cette concurrence. « Elles sont là juste pour un moment et elles repartent ». Et pourtant, la clientèle est toujours au rendez-vous. Il arrive parfois que des files d’attentes se forment et provoquent de petits embouteillages. Car le chic est de rester dans sa voiture, s’arrêter quelques secondes à hauteur de la « vendeuses-grilleuses » et se faire servir l’épi grillé enveloppé dans ses feuilles naturelles, pas d’aluminium s’il vous plait !
Certaines personnes exigent à ce que la céréale soit grillée jusqu’à la limite de la carbonisation. Elle est ainsi bien noire est salissante. Le maïs est alors croquante et légèrement amère. D’autres l’aiment chaude et mi cuite.
Son prix varie selon l’offre. En début et en fin de la période de récolte, la pièce se vend jusqu’à 2 ou 3 euros, alors qu’elle ne coûte que quelques centimes en ce moment.
Enfin, le maïs n’est considéré comme un plat à part entière, mais un encas, ou un amuse-gueule.
Des « confréries » de consommateurs de maïs existent aux 4 coins de l’île. Des hommes essentiellement se retrouvent en fin d’après-midi autour d’un barbecue de maïs.
Il y a des tentatives pour proposer du maïs bouilli à l’eau, mais les clients mahorais semblent préférer la préparation rustique : une grillade nature sans aucun ingrédient rajouté.