Le village de Hamouro a eu droit à un grand nettoyage avant la saison des pluies. Les bénévoles de l'association 976Sud Prévention sont à l'origine de l'opération et les habitants se sont mobilisés, toutes générations confondues.
C’est durant la saison de pluies que les conséquences des mauvais aménagements, des constructions sauvages et des agressions contre la nature sont les plus visibles.
Les pièges que sont les caniveaux d’évacuation des eaux pluviales apparaissent. De nombreuses municipalités ont fait des efforts pour les couvrir. D’autres, peut-être moins riches, sortent des communiqués pour appeler à la vigilance. Les parents sont priés de mieux surveiller leurs enfants, surtout ceux qui sont encore en bas-âges. Un argument qui ne devrait pas tenir devant un tribunal en cas d’accident.
Des systèmes d’évacuation qui sont bouchés dès les premières averses sérieuses à cause des quantités et de la nature des objets charriés.
Cela va de la terre qui n’est plus fixée au sol à cause de la déforestation aux appareils manufacturés ; électroménager et de textile.
Dans le village de Hamouro dans la commune de Bandrélé c’est une association, 976Sud Prévention, qui avait organisé une grande opération de nettoyage dimanche matin. Les villageois ont pris part à la mobilisation, de la plage jusqu’aux abords de la route nationale.
Ce sont les enfants qui étaient les plus nombreux. Sous l’encadrement des mamans, ils ont parcouru les rues de la localité de long en large pendant que les papas récuraient les caniveaux pour les déboucher et nettoyaient la plage.
Les pièges que sont les caniveaux d’évacuation des eaux pluviales apparaissent. De nombreuses municipalités ont fait des efforts pour les couvrir. D’autres, peut-être moins riches, sortent des communiqués pour appeler à la vigilance. Les parents sont priés de mieux surveiller leurs enfants, surtout ceux qui sont encore en bas-âges. Un argument qui ne devrait pas tenir devant un tribunal en cas d’accident.
Des systèmes d’évacuation qui sont bouchés dès les premières averses sérieuses à cause des quantités et de la nature des objets charriés.
Cela va de la terre qui n’est plus fixée au sol à cause de la déforestation aux appareils manufacturés ; électroménager et de textile.
Ce sont les enfants qui étaient les plus nombreux. Sous l’encadrement des mamans, ils ont parcouru les rues de la localité de long en large pendant que les papas récuraient les caniveaux pour les déboucher et nettoyaient la plage.