« Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal »
A Loni, dans la commune de Démbéni, il y a un lieu magnifique : une plage. Elle n’est pas aussi fréquentée que celles du sud de Mayotte, mais elle a ses adeptes. Samedi dernier, comme d’habitude, les baigneurs étaient en famille. Le temps était changeant, tantôt nuageux, tantôt ensoleillé. Un temps de saison comme disent les experts de Météo-France.
Pas de grands pique-niques, il n’y a pas si longtemps, lors des fêtes de fin d’année, il y en a eu de très grands ici.
Du côté du port de plaisance dans la baie de Mamoudzou, il manque de nombreux bateaux. Ce qui veut dire que beaucoup sont sortis ; que les îlots ont fait le plein malgré la météo.
Dans les campagnes, les paysans se remettent à planter. Surtout dans le sud où le soleil a parait-il, littéralement grillé les premières semences. Ils profitent des pluies de ces derniers jours pour en remettre d’autres dans la terre. Alors, il y a de nombreuses écoles, quant à la saisonnalité de ces travaux des champs et j’avoue que je ne suis pas un expert en la matière.
Les opérations de nettoyage des villages se multiplient pour empêcher que les ordures n’aillent polluer les cours d’eau et le lagon.
Les équipes de football sont en train de se préparer pour la reprise des compétitions le mois prochain. Les « transferts » vont bon train. Mais les entraînements sont fréquemment interrompus à cause des pluies. Il se pose un problème de sécurité pour les joueurs d’un côté, et de l’autre, tous les terrains de football de l’île deviennent impraticables à la moindre pluie, sauf celui de Bandraboua qui a une pelouse synthétique.
Les autres disciplines sont, elles aussi, dépendantes de la météo. Il n’y a que 3 gymnases dont deux en Petite-Terre, pour toutes les équipes de basket, de handball, de volley de Mayotte. Sinon, les rencontres se déroulent sur des plateaux polyvalents à ciel ouvert.
Tout ceci pour dire qu’il est en effet possible de ne pas parler des choses graves qui se passent sur le département. Casser le thermomètre pour ne pas révéler la fièvre.
Pas de grands pique-niques, il n’y a pas si longtemps, lors des fêtes de fin d’année, il y en a eu de très grands ici.
Du côté du port de plaisance dans la baie de Mamoudzou, il manque de nombreux bateaux. Ce qui veut dire que beaucoup sont sortis ; que les îlots ont fait le plein malgré la météo.
Dans les campagnes, les paysans se remettent à planter. Surtout dans le sud où le soleil a parait-il, littéralement grillé les premières semences. Ils profitent des pluies de ces derniers jours pour en remettre d’autres dans la terre. Alors, il y a de nombreuses écoles, quant à la saisonnalité de ces travaux des champs et j’avoue que je ne suis pas un expert en la matière.
Les opérations de nettoyage des villages se multiplient pour empêcher que les ordures n’aillent polluer les cours d’eau et le lagon.
Les équipes de football sont en train de se préparer pour la reprise des compétitions le mois prochain. Les « transferts » vont bon train. Mais les entraînements sont fréquemment interrompus à cause des pluies. Il se pose un problème de sécurité pour les joueurs d’un côté, et de l’autre, tous les terrains de football de l’île deviennent impraticables à la moindre pluie, sauf celui de Bandraboua qui a une pelouse synthétique.
Les autres disciplines sont, elles aussi, dépendantes de la météo. Il n’y a que 3 gymnases dont deux en Petite-Terre, pour toutes les équipes de basket, de handball, de volley de Mayotte. Sinon, les rencontres se déroulent sur des plateaux polyvalents à ciel ouvert.
Tout ceci pour dire qu’il est en effet possible de ne pas parler des choses graves qui se passent sur le département. Casser le thermomètre pour ne pas révéler la fièvre.