Une voix mahoraise s’est enfin adressée à ceux, parmi les passagers qui n’entendent ni le français ni l’anglais. Et les chibouchiphones, malgachophones, n’ont pas été oubliés.
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La compagnie régionale s’est mise aux langues régionales. Un progrès qui vient tenter un tant soit peu d'améliorer l’image de « manque de communication qui lui colle aux ailes ».Toutes les consignes de sécurité sont données en français, anglais, chimaorais et chibouchi (malgache). L’initiative a été saluée par les passagers, même s'il ne s'agit que d'un enregistrement. Ce n'est pas une pratique nouvelle et elle n'a rien à avoir avec les difficultés rencontrées parfois par les usagers depuis quelques temps.
Et comme pour faire un clin d’œil à une habitude régionale, les passagers du vol prévu à 15 heures 30 de Roland Garros, le 2 décembre dernier, ont eu droit au fameux 1/4 d’heure de retard supposé être une pratique mahoraise à moins que ce ne fut un rendez-vous (mal)gache.
Ces derniers mois la compagnie Air Austral a vu son image écornée auprès des usagers à cause des nombreuses pannes de ses avions.
Les critiques ont été plus virulentes pendant la période des vacances. Des passagers ont été bloqués dans les aéroports notamment à la Réunion et à Mayotte.
Après les voix Mahoraises, l’autre étape attendue est la présence d’hôtesses et stewards originaires de l’île au lagon et des tarifs tenant compte des réalités économiques locales.
Annonces de sécurité PNC Air Austral
Et comme pour faire un clin d’œil à une habitude régionale, les passagers du vol prévu à 15 heures 30 de Roland Garros, le 2 décembre dernier, ont eu droit au fameux 1/4 d’heure de retard supposé être une pratique mahoraise à moins que ce ne fut un rendez-vous (mal)gache.
Ces derniers mois la compagnie Air Austral a vu son image écornée auprès des usagers à cause des nombreuses pannes de ses avions.
Les critiques ont été plus virulentes pendant la période des vacances. Des passagers ont été bloqués dans les aéroports notamment à la Réunion et à Mayotte.
Après les voix Mahoraises, l’autre étape attendue est la présence d’hôtesses et stewards originaires de l’île au lagon et des tarifs tenant compte des réalités économiques locales.