L'ouvrier avait été placé en soins intensifs au CHM de Mamoudzou. Selon nos informations, il a été déclaré en état de mort cérébrale, victime d'une rupture d'anévrisme.
Selon les témoignages recueillis sur place, "il devait détruire sa propre habitation". Une version réfutée par son entreprise. Une source proche du dossier nous confirme, par contre, qu'il habitait le quartier Talus 2.
Certains de sa société avaient demandé à ne pas travailler sur l'opération de destruction "À aucun moment, ce salarié en avait fait la demande contrairement à d'autres qui nous ont signalé avoir de la famille sur place." assure son entreprise.