Charlotte Mucig, directrice du BRGM de Mayotte (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) était l‘invitée de Zakweli ce jeudi.
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Elle a annoncé que le nom du nouveau volcan sous-marin pourrait être dévoilé ce vendredi lors de la journée spéciale au Lycée de Mamoudzou Nord. Ce nom a fait l’objet d’une consultation depuis 2019, lancée par la préfecture auprès des élèves mahorais.
En attendant d’être baptisé, ce volcan est étudié de fond en comble par des scientifiques venus de plusieurs organismes regroupés au sein du réseau « Revosima ». « Le volcan est toujours actif » explique Charlotte Mucig, «deux essaims de séismes sont observés en permanence. Il y a 20 à 30 séismes par jour, qui ne sont pas ressentis par la population » ; « par ailleurs, une nouvelle coulée est observée. Elle s’étend sur 6 km2 et jusqu’à 60 mètres d’épaisseur ».
La directrice du BRGM évoque le risque de tsunami : « il est toujours présent, cependant Mayotte est protégée d’une éventuelle forte vague par ses mangroves et sa barrière de corail ».
En attendant d’être baptisé, ce volcan est étudié de fond en comble par des scientifiques venus de plusieurs organismes regroupés au sein du réseau « Revosima ». « Le volcan est toujours actif » explique Charlotte Mucig, «deux essaims de séismes sont observés en permanence. Il y a 20 à 30 séismes par jour, qui ne sont pas ressentis par la population » ; « par ailleurs, une nouvelle coulée est observée. Elle s’étend sur 6 km2 et jusqu’à 60 mètres d’épaisseur ».
La directrice du BRGM évoque le risque de tsunami : « il est toujours présent, cependant Mayotte est protégée d’une éventuelle forte vague par ses mangroves et sa barrière de corail ».