En ce mois de ramadan et de confinement pour cause de Corona virus, les agriculteurs restreignent leurs sorties à la campagne. Les voleurs ont donc le champ libre.
Les vols ont repris de plus belle dans les champs. Dans le sud de l'île, un agriculteur a été délesté d’une dizaine de régimes de bananes, en fin de semaine, d'autres témoignages corroborent ces méfaits.
Ce sont des fruits sur lesquels il comptait pour le mois de ramadan : une partie pour la consommation personnelle, l’autre pour vendre et mettre de l'argent de côté, mais les circonstances ont changé.
Des pieds de maniocs ont aussi été arrachés.
Le phénomène prend une ampleur particulière en cette période de confinement. Les champs sont sans surveillance, les voleurs se servent sans scrupule. En cette période de ramadan ils avaient espéré un peu de répit.
Et ce n’est pas le marquage à la peinture à l’eau sur les régimes pour qu’ils les reconnaissent sur les marchés qui découragent les voyons.
Le phénomène devrait s’aggraver au fur et à mesure que le mois de jeûne avance. Les produits vont se raréfier et coûteront de plus en plus cher.
Ces dernières années la banane et tous les tubercules importés, notamment de Madagascar, ont permis de combler l’insuffisance de la production locale. Les agriculteurs mahorais ont fait beaucoup d’efforts tant au niveau de la qualité que de la quantité pour satisfaire un marché exigeant mais les vols restent trop importants au grand dam des cultivateurs.
Ce sont des fruits sur lesquels il comptait pour le mois de ramadan : une partie pour la consommation personnelle, l’autre pour vendre et mettre de l'argent de côté, mais les circonstances ont changé.
Des pieds de maniocs ont aussi été arrachés.
Le phénomène prend une ampleur particulière en cette période de confinement. Les champs sont sans surveillance, les voleurs se servent sans scrupule. En cette période de ramadan ils avaient espéré un peu de répit.
Et ce n’est pas le marquage à la peinture à l’eau sur les régimes pour qu’ils les reconnaissent sur les marchés qui découragent les voyons.
Le phénomène devrait s’aggraver au fur et à mesure que le mois de jeûne avance. Les produits vont se raréfier et coûteront de plus en plus cher.
Ces dernières années la banane et tous les tubercules importés, notamment de Madagascar, ont permis de combler l’insuffisance de la production locale. Les agriculteurs mahorais ont fait beaucoup d’efforts tant au niveau de la qualité que de la quantité pour satisfaire un marché exigeant mais les vols restent trop importants au grand dam des cultivateurs.