En début de semaine plusieurs sites gouvernementaux ont été piratés et neutralisés au Mozambique. Les autorités disent que tout est rentré dans l’ordre, mais cela ne semble pas être tout à fait le cas. C’est surtout le site du ministère de la défense qui était visé.
Les pirates se réclament d’un mystérieux groupe de « hackers yéménites » et exigent de l’argent pour ne pas divulguer des informations confidentielles. Les détails recueillis par la presse mozambicaine ne sont pas très clairs ; on parle d’une rançon de 20 000 dollars (17 600 euros) ce qui semble être une somme bien légère pour des informations d’une telle importance, à moins qu’il ne s’agisse de 20 000 dollars pour chaque donnée piratée.
Des messages e-mails internes feraient partie du butin des pirates qui veulent être payés en monnaie virtuelle, en bitcoins.