Le volet sécuritaire a eu un traitement à part avec la présentation de la cellule de la vidéosurveillance.
Échange d'expériences qui a montré que les installations techniques de Mamoudzou sont quasi équivalentes à celles des Réunionnais. La Réunion, les équipes sont plus étoffés et le maillage des caméras plus efficace. La commune travaille en étroite collaboration avec les universités et accueille en stage des étudiants. Certains finissent par être embauché.
Le responsable informatique a précisé que le choix des appareils est primordial. Il permet de pouvoir travailler sereinement avec la justice en cas de nécessité et un meilleur suivi dans l'entretien du matériel.
Un des adjoints au maire de Saint-Pierre a souligné que le fait que la sécurité des hommes et des biens relève est une compétence régalienne, mais cela n'a pas empêché Fontaine, le maire d'en faire une de ses priorités. La délégation mahoraise a soulevé l'épineux problème de leurs remplacements et les cause de leur défaillance.
À Mayotte, la principale cause est le vandalisme à reconnu Mcolo MAINTI premier adjoint au maire de Mamoudzou chargé de la sécurité. À La Réunion, du moins dans la commune de Saint-Pierre, c'est le vent marin chargé du sel qui les met hors-service. Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, des agents de surveillance veillent sur la sécurité de Saint-pierrais à partir de leur salle de commandement.
La convention concerne aussi, un volet traitement des déchets, l'état civil, la formation professionnelle et tourisme. Dans les semaines à venir une délégation réunionnaise est attendue dans la commune chef lieu de Mayotte.