Le paysage politique de Mayotte s’étoffe au même rythme que celui de Paris. Un seul parti, ne semble pas avoir de succès, le parti écologiste. Et pourtant tous les ingrédients pour une implantation sont réunis sur le département.
Et pourtant, le moindre groupuscule idéologique qui se crée en France métropolitaine est représenté dans le département.
Sans compter, bien évidemment, les formations purement locales. Après une rapide investigation auprès de quelques bons penseurs de la place, les milieux avertis ou autorisés comme disent les parisiens, deux conclusions s’imposent :
Tout parti politique se doit d'avoir une représentation, une fédération à Mayotte pour montrer qu'il est présent, même dans les endroits les plus reculés de la République. C'est le summum de l'extension et de l'expression démocratique. Neil Armstrong a bien planté un drapeau américain sur la lune pour montrer qu'un américain avait bien foulé le sol lunaire.
Il se peut aussi qu’il y ait des vrais missionnaires convaincus qui viennent apporter la bonne parole. Un ancrage dans la brousse profonde. Dans ces cas - là, avoir des auxiliaires autochtones est très important.
A moins que ce ne soit les mahorais qui sont demandeurs. Il faut que Mayotte soit à l’image de la France même au niveau des partis politiques. Ou bien s’agit-il d’une autre façon d’exprimer le fameux sens de l’accueil à la mahoraise ; qui sait ?
Mais alors, pourquoi Europe Ecologie les Verts ou tout autre mouvement écolo n’a pas de vraie représentation sur cette île ?
Les interactions entre la société mahoraise et leur environnement engendrent des situations qui pourtant sont dénoncées pratiquement tous les jours ici : Gestion de déchets, protection de l’environnement, constructions sauvages et maintenant dérèglement climatique…
Ce sont pourtant des faits concrets. Et il ne s’agit pas de monter de toutes pièces une filière d’activistes écologistes. Mayotte n’est peut-être pas encore prête.
Parlons d’abord d’écologie positive, celle qui a pour objectif de préserver, au mieux, la terre des agressions causées par la société de consommation.
Une des raisons avancées pour expliquer cette absence, c’est le fait que l’écologie politique ne nourrirait pas bien son homme. Les quelques élus verts ont une image de trouble-fête. En ce qui concerne Mayotte, personne ne veut endosser le costume de celui qui se met au travers de la construction et du développement au nom d’une hypothétique protection de la maison commune, la Nature.
Et puis, il ne faut pas se voiler la face, il faut plus de conviction pour défendre une cause commune à l’humanité qu’il n’en faut pour défendre son pré carré.
Sans compter, bien évidemment, les formations purement locales. Après une rapide investigation auprès de quelques bons penseurs de la place, les milieux avertis ou autorisés comme disent les parisiens, deux conclusions s’imposent :
Tout parti politique se doit d'avoir une représentation, une fédération à Mayotte pour montrer qu'il est présent, même dans les endroits les plus reculés de la République. C'est le summum de l'extension et de l'expression démocratique. Neil Armstrong a bien planté un drapeau américain sur la lune pour montrer qu'un américain avait bien foulé le sol lunaire.
Il se peut aussi qu’il y ait des vrais missionnaires convaincus qui viennent apporter la bonne parole. Un ancrage dans la brousse profonde. Dans ces cas - là, avoir des auxiliaires autochtones est très important.
A moins que ce ne soit les mahorais qui sont demandeurs. Il faut que Mayotte soit à l’image de la France même au niveau des partis politiques. Ou bien s’agit-il d’une autre façon d’exprimer le fameux sens de l’accueil à la mahoraise ; qui sait ?
Mais alors, pourquoi Europe Ecologie les Verts ou tout autre mouvement écolo n’a pas de vraie représentation sur cette île ?
Les interactions entre la société mahoraise et leur environnement engendrent des situations qui pourtant sont dénoncées pratiquement tous les jours ici : Gestion de déchets, protection de l’environnement, constructions sauvages et maintenant dérèglement climatique…
Ce sont pourtant des faits concrets. Et il ne s’agit pas de monter de toutes pièces une filière d’activistes écologistes. Mayotte n’est peut-être pas encore prête.
Parlons d’abord d’écologie positive, celle qui a pour objectif de préserver, au mieux, la terre des agressions causées par la société de consommation.
Une des raisons avancées pour expliquer cette absence, c’est le fait que l’écologie politique ne nourrirait pas bien son homme. Les quelques élus verts ont une image de trouble-fête. En ce qui concerne Mayotte, personne ne veut endosser le costume de celui qui se met au travers de la construction et du développement au nom d’une hypothétique protection de la maison commune, la Nature.
Et puis, il ne faut pas se voiler la face, il faut plus de conviction pour défendre une cause commune à l’humanité qu’il n’en faut pour défendre son pré carré.