Les sorties en mer sont étroitement règlementées pour faciliter les interceptions des embarcations qui font entrer irrégulièrement des étrangers sur le département de Mayotte.
Les activités dans la zone exclusive économique de Mayotte sont désormais suivies de près par les autorités dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid 19.
Les bateaux de pêche sont bien évidemment concernés par cette campagne. Des mesures d’accompagnement vont être mises en place pour dédommager les professionnels de la mer qui vont être impactés. Les pêcheurs ont obtenu, après négociations, de pouvoir continuer à travailler.
Mais, comme dans bien d’autres secteurs d’activité économique à Mayotte, une part importante de la pêche est assurée par des illégaux.
Les petits marchés informels à Mamoudzou, à la déscente de la barge ; à Longoni au nord et à Hamouro au sud du département sont tenus du moins, ils sont ravitaillés par ces travailleurs au noir.
Eux n’auront donc pas droit aux mesures de compensation promises par les autorités. Depuis l’annonce de ces restrictions, le prix du poisson s’est envolé sur ces marchés.
Et, une autre inquiétude point à quelques jours du début du mois de ramadan ; difficile d’imaginer une rupture du jeûne sans poisson frais.
Des grandes surfaces proposent depuis longtemps des produits de la mer, notamment du poisson en surgelés importés. Le succès est limité mais les consommateurs mahorais pourraient se laisser tenter au vu des circonstances actuelles.
Les bateaux de pêche sont bien évidemment concernés par cette campagne. Des mesures d’accompagnement vont être mises en place pour dédommager les professionnels de la mer qui vont être impactés. Les pêcheurs ont obtenu, après négociations, de pouvoir continuer à travailler.
Mais, comme dans bien d’autres secteurs d’activité économique à Mayotte, une part importante de la pêche est assurée par des illégaux.
Les petits marchés informels à Mamoudzou, à la déscente de la barge ; à Longoni au nord et à Hamouro au sud du département sont tenus du moins, ils sont ravitaillés par ces travailleurs au noir.
Eux n’auront donc pas droit aux mesures de compensation promises par les autorités. Depuis l’annonce de ces restrictions, le prix du poisson s’est envolé sur ces marchés.
Et, une autre inquiétude point à quelques jours du début du mois de ramadan ; difficile d’imaginer une rupture du jeûne sans poisson frais.
Des grandes surfaces proposent depuis longtemps des produits de la mer, notamment du poisson en surgelés importés. Le succès est limité mais les consommateurs mahorais pourraient se laisser tenter au vu des circonstances actuelles.