En une semaine, par deux fois des voyous ont agi, armes à feu au poing. Une escalade inquiétante qui confirme les rumeurs persistantes d’armes à feu introduites illégalement dans le département.
Mayotte est bel et bien face au développement d’une forme de grand banditisme. La semaine dernière, les victimes des coupeurs de routes, à Ongojou dans la commune de Démbéni, sur la route de Sada ont affirmé avoirt été menacées par des bandits armés et cagoulés.
Une d’ entre elles avait affirmé avoir été tenue en joue par une personne qui avait un fusil de chasse et qu’un autre agresseur avait un revolver 9 millimètres. Plus tard, certaines autorités parleront d’armes factices !
Mais, ce samedi dans la tentative de braquage de la boulangerie de Passamainti, les brigands étaient armés de fusil de calibre 12. L’arme été chargée et prête à l’emploi.
Les témoins qui ont appréhendé l’un des braqueurs ont donc tous risqué leurs vies.
Jusqu’à ce jour, si les autorités prennaient au sérieu les affirmations selon lesquelles, des armes à feu circulent dans le département, elles n’ont pas beaucoup communiqué sur le sujet. Histoire peut-être de ne pas semer la panique dans la population.
Et pourtant, les informations qui remontent de certains villages et quartiers, de la commune de Mamoudzou sont inquiétantes. De vraies armes de guerre seraient introduites à Mayotte depuis quelques années. Leur arrivée n'est pas consécutive à la vague des expulsions des étrangers.
Des témoins dignes de confiance disent avoir été démarchés pour l’achat de d’armes de guerre. Il y a évidemment une part de fantasme, mais juste une part.
En effet, il y a quelques années, un chauffeur de taxi bien connu de Petite-Terre avait été arrêté alors
qu’il s’entrainait à la kalachnikov. Une arme qu’il avait achetée chez un ami qui venait des îles voisines.
Un fusil de chasse avait-il cru acheter; disait-il...
Les évènements de ces derniers jours ont amplifié le climat d’insécurité et poussé les détenteurs d’armes à feu à les sortir de leurs cachettes. Les forces de l’ordre ont désormais à faire à des délinquants plus dangereux.
Mayotte n'a pas encore ateint le niveau dse autres départements d'outremer en matière de banditisme; mais elle à ce rythme elle ne sera pas logtemps dernière.
Une d’ entre elles avait affirmé avoir été tenue en joue par une personne qui avait un fusil de chasse et qu’un autre agresseur avait un revolver 9 millimètres. Plus tard, certaines autorités parleront d’armes factices !
Mais, ce samedi dans la tentative de braquage de la boulangerie de Passamainti, les brigands étaient armés de fusil de calibre 12. L’arme été chargée et prête à l’emploi.
Les témoins qui ont appréhendé l’un des braqueurs ont donc tous risqué leurs vies.
Jusqu’à ce jour, si les autorités prennaient au sérieu les affirmations selon lesquelles, des armes à feu circulent dans le département, elles n’ont pas beaucoup communiqué sur le sujet. Histoire peut-être de ne pas semer la panique dans la population.
Et pourtant, les informations qui remontent de certains villages et quartiers, de la commune de Mamoudzou sont inquiétantes. De vraies armes de guerre seraient introduites à Mayotte depuis quelques années. Leur arrivée n'est pas consécutive à la vague des expulsions des étrangers.
Des témoins dignes de confiance disent avoir été démarchés pour l’achat de d’armes de guerre. Il y a évidemment une part de fantasme, mais juste une part.
En effet, il y a quelques années, un chauffeur de taxi bien connu de Petite-Terre avait été arrêté alors
qu’il s’entrainait à la kalachnikov. Une arme qu’il avait achetée chez un ami qui venait des îles voisines.
Un fusil de chasse avait-il cru acheter; disait-il...
Les évènements de ces derniers jours ont amplifié le climat d’insécurité et poussé les détenteurs d’armes à feu à les sortir de leurs cachettes. Les forces de l’ordre ont désormais à faire à des délinquants plus dangereux.
Mayotte n'a pas encore ateint le niveau dse autres départements d'outremer en matière de banditisme; mais elle à ce rythme elle ne sera pas logtemps dernière.