« Cela va durer la semaine prochaine… au moins !» prédit Mikidadi Assani au sujet de la coupure de la RD1 en raison des fissures sur le bitume. Il estime que
la déviation actuelle à travers la campagne n’est pas vraiment praticable, surtout quand on ne dispose pas d’un 4X4
et qu'il « faudrait sécuriser cet itinéraire ». Mikidadi Assani trouve « dommage que l’on n’ait pas pu anticiper cet enfoncement », selon lui
le BRGM aurait pu le faire car il a quadrillé tout le territoire, surtout depuis le phénomène volcanique
D’une manière générale, le président de l’association des usagers déplore qu’il reste encore des zones « accidentogènes » où « il manque des marquages et des glissières de sécurité ». Il y a des accidents qui, selon lui, « ne sont pas de la faute des usagers ». « Dans ces cas, notre association peut se porter partie civile » assure-t-il. Selon Mikidadi Assani, « il faut que les communes s’occupent aussi des routes qui les traversent, si on se laisse guider par l’Etat, on n’est pas sortis de l’auberge ». Il affirme que
l’Etat s’intéresse plutôt aux « routes vertes, c’est-à-dire la marche à pied. Nous soutiendrons aux législatives, les candidats qui encourageront le développement du réseau routier.