La saison des fruits se termine, les makis ont faim. Les cultivateurs voient leurs bananes et tous leurs fruits d’une manière générale se faire grignoter par les lémuriens. Même ceux qui ne sont pas encore mûrs.
Ce sont de véritables razzias auxquelles les cultivateurs de fruits doivent faire face en ce moment. Les récoltes n’ont pas été bonnes à cause de la saison des pluies qui est décalée; les vols se multiplient et maintenant, c'est un autre fléau qui guette.
Les makis, gentils quadrumanes endémiques à l’île de Mayotte, qui fait le bonheur des touristes cherchent de la nourriture. En période normale, ils se gavent des fruits dans les champs, loin des hommes. Sauf que depuis quelques années, ils sont obligés de descendre jusque dans les villages, dans les cours des particuliers pour chaparder.
Ces animaux sont protégés par la loi et des conventions internationales. Et Mayotte est soumise à ses textes. Toute personne qui les chasserait pour les consommer en tant que nourriture ou les tuer au prétexte qu’ils détruisent ses récoltes sera arrêtée et condamnée.
Les plaintes des cultivateurs se mêlent désormais à celles des villageois.
Se pose donc le problème du nombre de makis : sont-ils trop nombreux ? En tous les cas il y a de plus en plus de cadavres de cet animal sur les routes de campagne. Doit-on en prélever une partie ?
La réponse est forcément difficile puisqu’on ne saurait pas quoi en faire.
Les makis, gentils quadrumanes endémiques à l’île de Mayotte, qui fait le bonheur des touristes cherchent de la nourriture. En période normale, ils se gavent des fruits dans les champs, loin des hommes. Sauf que depuis quelques années, ils sont obligés de descendre jusque dans les villages, dans les cours des particuliers pour chaparder.
Ces animaux sont protégés par la loi et des conventions internationales. Et Mayotte est soumise à ses textes. Toute personne qui les chasserait pour les consommer en tant que nourriture ou les tuer au prétexte qu’ils détruisent ses récoltes sera arrêtée et condamnée.
Les plaintes des cultivateurs se mêlent désormais à celles des villageois.
Se pose donc le problème du nombre de makis : sont-ils trop nombreux ? En tous les cas il y a de plus en plus de cadavres de cet animal sur les routes de campagne. Doit-on en prélever une partie ?
La réponse est forcément difficile puisqu’on ne saurait pas quoi en faire.