A l’occasion de la journée mondiale contre le SIDA, le directeur de l’association « Nariké M’sada » Moncef Mouhoudoire était l’invité de Zakweli ce mardi 1er décembre.
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Moncef Mouhoudoire insiste sur le dépistage : « quand on est dépisté, on a accès aux trithérapies, on n’est plus contaminant ; mais pas assez de gens le font » explique-t-il, « 62% des personnes dépistées positives sont des femmes lors de leur grossesse. S’il y a une femme séropositive, cela veut bien dire qu’il y a un mec au bout ! Mais ces derniers sont invisibles ».
Selon Moncef Mouhoudoire, la pauvreté accentue les comportements à risque, notamment la prostitution.
Il déplore l’accès encore difficile au préservatif « on n’en trouve que dans les pharmacies ».
« Le préservatif c’est l’outil de base de la prévention. Les communes ont les moyens de favoriser l’accès au préservatif. J’aimerais bien qu’en 2021, les communes aient mis des distributeurs automatiques de préservatifs partout ».
Selon Moncef Mouhoudoire, la pauvreté accentue les comportements à risque, notamment la prostitution.
Il déplore l’accès encore difficile au préservatif « on n’en trouve que dans les pharmacies ».
« Le préservatif c’est l’outil de base de la prévention. Les communes ont les moyens de favoriser l’accès au préservatif. J’aimerais bien qu’en 2021, les communes aient mis des distributeurs automatiques de préservatifs partout ».
Moncef Mouhoudoire dans Zakweli