« On a le sentiment d’une certaine écoute, mais pas nécessairement d’actions"

La première revendication était la lutte contre les violences, notamment dans et autour des établissements scolaires. L’île avait été paralysée durant de longues semaines à cause des barrages qui avaient été érigés sur tous les grands axes routiers.
La ministre des outre-mer dépêchée sur place avait pris des engagements pour lutter efficacement contre l’insécurité, relancer le développement de l’île et un meilleur fonctionnement des services de l’Etat sur le 101 ème département français.  
Des membres des différentes associations et des collectifs ont été reçus en préfecture pour faire le point sur l’évolution de ces dossiers.