Dans le cadre du salon du livre, l’écrivaine mozambicaine Paulina Chiziane a rencontré des femmes mahoraises à la bibliothèque de Kavani ce mardi après-midi.
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Une rencontre organisée à l’initiative de Yasmina Aouny, qui a rassemblé autour de la table, des personnalités telles que Hidaya Chakrina, docteure en littérature et directrice du service culturel du département.
Il y avait également Moinécha Hariti, la styliste ainsi que Némati Toumbou-Dani du comité Miss Excellence Mayotte. Plus de deux heures d’échange où l’écrivaine, qui en est, à son deuxième séjour à Mayotte, a livré sa vision du monde, notamment des interrogations postcoloniales même si elle se s’inscrit pas dans ce mouvement littéraire. Paulina Chiziane n’aime pas se mettre dans une case, dit-elle.
Le rapport aux cheveux crépus, à la couleur de peau, aux cultures des peuples africains ont émaillé cette rencontre.
Avec Yasmina Aouny en guise d’interprète lusophone, le public est sorti de la rencontre avec plein de questionnements sur le rapport à l’Occident, à l’Orient et à son identité propre. Pour l’écrivaine, au-delà des identités politiques, elle « mozambicaine » et les mahorais « français, nous avons la même identité ». Paulina Chiziane, dit se sentir chez elle à Mayotte et compte bien écrire un livre sur l’île.
Le rapport aux cheveux crépus, à la couleur de peau, aux cultures des peuples africains ont émaillé cette rencontre.
Avec Yasmina Aouny en guise d’interprète lusophone, le public est sorti de la rencontre avec plein de questionnements sur le rapport à l’Occident, à l’Orient et à son identité propre. Pour l’écrivaine, au-delà des identités politiques, elle « mozambicaine » et les mahorais « français, nous avons la même identité ». Paulina Chiziane, dit se sentir chez elle à Mayotte et compte bien écrire un livre sur l’île.