Un jeune homme est décédé à la Réunion, de toute évidence victime d’une violente agression qui aurait eu lieu depuis le 29 décembre dernier en Petite Terre.
Or, les gendarmes de Mayotte ne commencent l’enquête que maintenant, car personne ne les avait prévenus !
Or, les gendarmes de Mayotte ne commencent l’enquête que maintenant, car personne ne les avait prévenus !
L'affaire a été révélée par nos confrères du "Journal de Mayotte". Dans la nuit du 29 décembre dernier, un jeune homme de 19 ans est trouvé grièvement blessé dans une rue de Petite Terre. Les pompiers emmènent le blessé au dispensaire de Dzaoudzi. De là il est transféré au CHM à Mamoudzou. Devant la gravité de son état, les médecins du CHM organisent son évacuation sanitaire vers la Réunion. Le jeune homme alors est hospitalisé à St Pierre où il décède peu après.
St Pierre est en zone police à la Réunion. Les policiers réunionnais sont un peu étonnés : ils ne trouvent aucun dossier d’enquête sur une évidente agression dont ce jeune homme aurait été victime. C’est là qu’ils posent des questions, et ainsi la nouvelle arrive avec dix jours de retard à la gendarmerie de Mayotte. Il y a eu un couac de communication. "Quand les pompiers prennent en charge un blessé, normalement ils préviennent les gendarmes, mais là, cela n'a pas été le cas et on ne sait pas pourquoi" explique le Colonel Philippe Leclercq, commandant la gendarmerie de Mayotte.
Ce retard rend l’enquête un peu plus compliquée. On sait qu’il y a eu des bagarres entre bande rivales en petite terre à l’approche des fêtes de fin d’années. Y a-t-il un rapport ? La question reste pour le moment sans réponse. En attendant un meurtrier court toujours.
St Pierre est en zone police à la Réunion. Les policiers réunionnais sont un peu étonnés : ils ne trouvent aucun dossier d’enquête sur une évidente agression dont ce jeune homme aurait été victime. C’est là qu’ils posent des questions, et ainsi la nouvelle arrive avec dix jours de retard à la gendarmerie de Mayotte. Il y a eu un couac de communication. "Quand les pompiers prennent en charge un blessé, normalement ils préviennent les gendarmes, mais là, cela n'a pas été le cas et on ne sait pas pourquoi" explique le Colonel Philippe Leclercq, commandant la gendarmerie de Mayotte.
Ce retard rend l’enquête un peu plus compliquée. On sait qu’il y a eu des bagarres entre bande rivales en petite terre à l’approche des fêtes de fin d’années. Y a-t-il un rapport ? La question reste pour le moment sans réponse. En attendant un meurtrier court toujours.