Les deux principaux syndicats de police de Mayotte, Alliance et Unité SGP-Police-FO annoncent un boycott suite à l’annonce de la création d’une plateforme pour signaler les discriminations.
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Emmanuel Macron, longuement interrogé sur les violences policières, a notamment abordé la question des contrôles au faciès, dont il a reconnu la réalité.
Le chef de l’État a ainsi expliqué vouloir « regarder en face la question de ces contrôles » et a promis le lancement en janvier d’une plateforme nationale de signalement des discriminations, gérée par l’État, le Défenseur des droits et des associations.
Une annonce qui a immédiatement provoqué une levée de boucliers chez des syndicats policiers, qui y voient une « énième mesure anti-flic ».