Dans deux semaines, le premier tour de l'élection présidentielle. Les écarts se réduisent dans les intentions de vote entre les "Big four", et l’outremer reste cette variable d’ajustement.
Mais est-ce que, l’outremer français est en droit d’exiger plus ?
Très rapidement, au nom de l’égalité et de la continuité territoriale ; la réponse est « OUI ! ».
Les plus optimistes diront que les choses ont évolué. Entre le ministre des colonies et le ministre de l’outremer, il y a un monde.
Et quand on constate que le fameux ministère est devenu un ministère de pleine exercice, avec à sa tête, un ultramarin, depuis Marie-Luce Penchard sous la présidence de Nicolas Sarkozy, on n’est pas loin d’être euphorique.
Passons sur cette « règle » de mettre un ultramarin au 27 de la rue Oudinot qui maintenant soulève autant de questions que la discrimination positive.
Le ministère de l’outremer doit s’affranchir de la tutelle du ministère de l’intérieur ; dans les faits aussi.
Que cette outre-mer ne soit pays ce pays étrangers qui survit grâce aux aides et aux subventions de la 5ème puissance économie du monde, aux yeux de beaucoup de compatriotes.
Il est souvent rappelé que les candidats à la présidentielle dans notre pays n’ont plus cette relation « privilégiée » avec les français des départements et territoires d’outremer, qu'avaient les anceins.
Certains se réjouiront de la fin d’une forme de paternalisme qui a souvent infantilisé les originaires des DOM-TOM. Mais par quoi est-elle, ou doit-elle, être remplacée ?
La lecture des différents programmes des 11 candidats donne beaucoup d’indications sur ce que chacun veut pour la France de l’outremer.
Alors, les utramarins doivent-ils aller voter ?
Très rapidement, au nom de l’égalité et de la continuité territoriale ; la réponse est « OUI ! ».
Les plus optimistes diront que les choses ont évolué. Entre le ministre des colonies et le ministre de l’outremer, il y a un monde.
Et quand on constate que le fameux ministère est devenu un ministère de pleine exercice, avec à sa tête, un ultramarin, depuis Marie-Luce Penchard sous la présidence de Nicolas Sarkozy, on n’est pas loin d’être euphorique.
Passons sur cette « règle » de mettre un ultramarin au 27 de la rue Oudinot qui maintenant soulève autant de questions que la discrimination positive.
Le ministère de l’outremer doit s’affranchir de la tutelle du ministère de l’intérieur ; dans les faits aussi.
Que cette outre-mer ne soit pays ce pays étrangers qui survit grâce aux aides et aux subventions de la 5ème puissance économie du monde, aux yeux de beaucoup de compatriotes.
Il est souvent rappelé que les candidats à la présidentielle dans notre pays n’ont plus cette relation « privilégiée » avec les français des départements et territoires d’outremer, qu'avaient les anceins.
Certains se réjouiront de la fin d’une forme de paternalisme qui a souvent infantilisé les originaires des DOM-TOM. Mais par quoi est-elle, ou doit-elle, être remplacée ?
La lecture des différents programmes des 11 candidats donne beaucoup d’indications sur ce que chacun veut pour la France de l’outremer.
Alors, les utramarins doivent-ils aller voter ?