C'est la Radio qui émet en premier à partir de la nouvelle station de Mayotte la 1ère, à Kawéni. Le média historique ouvre la marche de la relocalisation de l'audiovisuel public en Grande-Terre, à Kawéni dès mercredi 6 novembre prochain.
Aujourd’hui nous ouvrons une nouvelle page dans le monde tumultueux de la radio dans cette partie du monde, le Canal de Mozambique.
Mayotte la 1ère qui a succédé à Mayotte1ere, RFO, FR3 et l’ORTF en Petite-Terre prend ses quartiers à Kawéni en Grande-Terre.
En la matière, de toutes les façons, l’île au lagon a toujours été la première. La première radio des Comores, colonie française, était implantée à Mayotte le 1er septembre 1960. Sa relocalisation à Moroni le 15 octobre 1967 est considérée comme un des éléments symboliques du transfert, l’accaparement selon certains, de la capitale de la colonie par la Grande Comores et donc une des causes de la contestation des Mahorais.
Aujourd’hui, sur les pas d’illustres prédécesseurs, Bacar Mavouna, Soufiane Saïd, Testina Saïd, Madi Baco, Ibrahim Chanfy paix à leurs âmes et nos retraités tonton Moussa Assoumani, Hamada Ridhoi, des jeunes mahorais perpétuent la tradition mahoraise de la culture de la radio.
Média de proximité et d’interaction par excellence, les ondes publiques ont accompagné l’histoire de cette île dans toutes ses évolutions; évolution politique, évolution économique et sociale. La radio publique à Mayotte est également gardienne et diffuseuse d’une culture orale, riche...
Ce média est surtout celui de tous les habitants de cette îles mais aussi celui de tous ses auditeurs. Combien de communiqués diffusés concernent en fait toute la région et la France métropolitaine ?
Les chiffres de Médiamétrie confirment chaque année l’attachement des auditeurs à la radio publique. Des rendez-vous d’information : journaux, magazines ou émissions et des animations souvent interactives sont diffusés avec comme seul objectif : INFORMER, ÉDUQUER et DISTRAIRE.
Pourquoi donc ce déménagement ?
Parce que Mayotte évolue, se modernise et exige ce qui se fait de mieux. France-Télévisions, par cet investissement accompagne les ambitions du département.
Pamandzi et la Petite-Terre ont concentré l’essentiel des établissements publics pour des raisons historiques et pratiques. Aujourd’hui Mamoudzou et son agglomération accueillent à leur tour ces institutions.
Et comme dirait un artiste populaire de la place : " Il faut être sur place pour savoir ce qui se passe" : Alors ça y est, nous y sommes !
Mayotte la 1ère qui a succédé à Mayotte1ere, RFO, FR3 et l’ORTF en Petite-Terre prend ses quartiers à Kawéni en Grande-Terre.
En la matière, de toutes les façons, l’île au lagon a toujours été la première. La première radio des Comores, colonie française, était implantée à Mayotte le 1er septembre 1960. Sa relocalisation à Moroni le 15 octobre 1967 est considérée comme un des éléments symboliques du transfert, l’accaparement selon certains, de la capitale de la colonie par la Grande Comores et donc une des causes de la contestation des Mahorais.
Aujourd’hui, sur les pas d’illustres prédécesseurs, Bacar Mavouna, Soufiane Saïd, Testina Saïd, Madi Baco, Ibrahim Chanfy paix à leurs âmes et nos retraités tonton Moussa Assoumani, Hamada Ridhoi, des jeunes mahorais perpétuent la tradition mahoraise de la culture de la radio.
Média de proximité et d’interaction par excellence, les ondes publiques ont accompagné l’histoire de cette île dans toutes ses évolutions; évolution politique, évolution économique et sociale. La radio publique à Mayotte est également gardienne et diffuseuse d’une culture orale, riche...
Ce média est surtout celui de tous les habitants de cette îles mais aussi celui de tous ses auditeurs. Combien de communiqués diffusés concernent en fait toute la région et la France métropolitaine ?
Les chiffres de Médiamétrie confirment chaque année l’attachement des auditeurs à la radio publique. Des rendez-vous d’information : journaux, magazines ou émissions et des animations souvent interactives sont diffusés avec comme seul objectif : INFORMER, ÉDUQUER et DISTRAIRE.
Pourquoi donc ce déménagement ?
Parce que Mayotte évolue, se modernise et exige ce qui se fait de mieux. France-Télévisions, par cet investissement accompagne les ambitions du département.
Pamandzi et la Petite-Terre ont concentré l’essentiel des établissements publics pour des raisons historiques et pratiques. Aujourd’hui Mamoudzou et son agglomération accueillent à leur tour ces institutions.
Et comme dirait un artiste populaire de la place : " Il faut être sur place pour savoir ce qui se passe" : Alors ça y est, nous y sommes !