MADAGASCAR
Sur le front de la peste à Madagascar, les autorités disent tout faire pour que la maladie ne sorte pas des frontières.
On sait déjà que cette épidémie n’est pas facile à contenir puisqu’un Seychellois (comme nous l’avions évoqué hier) est arrivé aux Seychelles depuis Antananarivo avec la peste pulmonaire, contraignant les autorités à prendre des mesures drastiques pour traiter les centaines de personnes avec lesquelles il a été en contact.
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, l’épidémie de peste, à Madagascar est de grade 2. Une classification qui impliquerait un risque de propagation nationale, très élevé. Au niveau régional, le risque est modéré et au niveau international, il est faible.
Le journal « l’Express » rappelle :
« qu’il n’y a pas de restriction sur les vols à Madagascar, à l’entrée et à la sortie, sous réserve de l’application des contrôles sanitaires de l’OMS.
Pour rassurer leurs interlocuteurs, les membres du gouvernement se sont évertués à affirmer le respect de ces contrôles sanitaires
Le chef de la diplomatie malgache a souligné la descente du ministre de la Santé et de celui des Transports, à Ivato, la nuit du 10 octobre, pour vérifier l’application stricte des normes sanitaires qui s’imposent pour lutter contre la propagation internationale de l’épidémie.
SEYCHELLES
La peur de la peste est très forte aux Seychelles. Le Ministre de la santé a annoncé la fermeture des écoles pour aujourd’hui.
Il y a un enfant qui présente des symptômes, comme elles n’ont pas encore un diagnostic formel, les autorités ont annoncé la fermeture des écoles en attendant les résultats d’analyse.
Par ailleurs 300 personnes ont été placées sous surveillance médicale après l’arrivée d’un malade vendredi dernier. Un appel à se présenter a été lancé à tous ceux qui ont été en contact avec ces 300 personnes depuis vendredi dernier. Cela fait beaucoup de monde.
LA REUNION
A la Réunion le préfet a donné des consignes pour surveillance des frontières aériennes et maritimes.
Ce sont les mêmes consignes valables à Mayotte.
Amaury de Saint-Quentin, préfet de La Réunion, s’est assuré que l’ensemble des services de l’État concernés anticipe un éventuel risque d’importation de cas de peste à La Réunion et soit en mesure de détecter et de prendre en charge rapidement et efficacement une personne présentant les symptômes de la maladie dès son arrivée.
Ces symptômes (forte fièvre, toux, détresse respiratoire, détérioration brutale de l’état de santé) sont connus de l’ensemble des acteurs aériens et maritimes en lien avec Madagascar.
Les autorités portuaires et aéroportuaires sont informées des conduites à tenir pour prévenir tout cas importé et, le cas échéant, prendre en compte les suspicions de cas de peste en lien avec les services du SMUR et l’ARS-Océan Indien. Les modalités de traçabilité des personnes en contact avec le malade ont été formalisées, pour des entrées par avion ou par bateau.
Sur le front de la peste à Madagascar, les autorités disent tout faire pour que la maladie ne sorte pas des frontières.
On sait déjà que cette épidémie n’est pas facile à contenir puisqu’un Seychellois (comme nous l’avions évoqué hier) est arrivé aux Seychelles depuis Antananarivo avec la peste pulmonaire, contraignant les autorités à prendre des mesures drastiques pour traiter les centaines de personnes avec lesquelles il a été en contact.
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, l’épidémie de peste, à Madagascar est de grade 2. Une classification qui impliquerait un risque de propagation nationale, très élevé. Au niveau régional, le risque est modéré et au niveau international, il est faible.
Le journal « l’Express » rappelle :
« qu’il n’y a pas de restriction sur les vols à Madagascar, à l’entrée et à la sortie, sous réserve de l’application des contrôles sanitaires de l’OMS.
Pour rassurer leurs interlocuteurs, les membres du gouvernement se sont évertués à affirmer le respect de ces contrôles sanitaires
Le chef de la diplomatie malgache a souligné la descente du ministre de la Santé et de celui des Transports, à Ivato, la nuit du 10 octobre, pour vérifier l’application stricte des normes sanitaires qui s’imposent pour lutter contre la propagation internationale de l’épidémie.
SEYCHELLES
La peur de la peste est très forte aux Seychelles. Le Ministre de la santé a annoncé la fermeture des écoles pour aujourd’hui.
Il y a un enfant qui présente des symptômes, comme elles n’ont pas encore un diagnostic formel, les autorités ont annoncé la fermeture des écoles en attendant les résultats d’analyse.
Par ailleurs 300 personnes ont été placées sous surveillance médicale après l’arrivée d’un malade vendredi dernier. Un appel à se présenter a été lancé à tous ceux qui ont été en contact avec ces 300 personnes depuis vendredi dernier. Cela fait beaucoup de monde.
LA REUNION
A la Réunion le préfet a donné des consignes pour surveillance des frontières aériennes et maritimes.
Ce sont les mêmes consignes valables à Mayotte.
Amaury de Saint-Quentin, préfet de La Réunion, s’est assuré que l’ensemble des services de l’État concernés anticipe un éventuel risque d’importation de cas de peste à La Réunion et soit en mesure de détecter et de prendre en charge rapidement et efficacement une personne présentant les symptômes de la maladie dès son arrivée.
Ces symptômes (forte fièvre, toux, détresse respiratoire, détérioration brutale de l’état de santé) sont connus de l’ensemble des acteurs aériens et maritimes en lien avec Madagascar.
Les autorités portuaires et aéroportuaires sont informées des conduites à tenir pour prévenir tout cas importé et, le cas échéant, prendre en compte les suspicions de cas de peste en lien avec les services du SMUR et l’ARS-Océan Indien. Les modalités de traçabilité des personnes en contact avec le malade ont été formalisées, pour des entrées par avion ou par bateau.