Sur l’île principale de Mahé, c’est une renaissance du « Mizé Koko » comme l’appellent les Seychellois. Un précédent établissement de ce genre était tombé dans l’oubli et avait fermé ses portes il y a 20 ans.
Le nouveau musée est construit tout en bois et palmes. Il présente les mille et une manières d’utiliser la noix dont on tire de l’eau, de l’huile, du lait. La coque dont on fait des abats jours et différents objets décoratifs. Les troncs de cocotiers sont sculptés, on peut en faire des meubles, et construire des cabanes prisées des touristes.
Le coco a une place prépondérante dans la vie des Seychellois depuis des siècles. Dans les années soixante, le pays exportait du coprah, matière première de nombreuses graisses végétales mais les nombreux hôtels ont pris la place des cocoteraies.
Un festival national lui sera consacré autour du 2 septembre qui marque la journée mondiale de la noix de coco.