Il y a une vraie menace d’extinction des tortues à Mayotte. Les moyens déployés pour les protéger ne sont pas suffisants. Les braconniers sont nombreux et sévissent sur pratiquement tous les sites de ponte de l’île.
Le braconnage des tortues ne connaît pas de répit à Mayotte. L’animal est traqué sur toutes les plages qui bordent l'île. Et ce sont les femelles qui paient le plus lourd tribut puisque ce sont elles qui sont capturées quand elles montent pour pondre leurs œufs.
Les braconniers ont changé de stratégie selon les bénévoles des associations qui tentent de les protéger. Ils ne se cachent plus sur la terre ferme où ils peuvent être vus par les membres des associations de protection de la nature ou attrapés par les forces de l’ordre. Car il s’agit d’espèces protégées et les sanctions peuvent être lourdes. Des peines de prison ferme ont été prononcées contre des personnes prises en flagrant délit.
Les chasseurs illégaux arrivent désormais par la mer la plus part du temps et enlèvent la bête puis repartent avec dans leur embarcation.
Deux espèces de tortues marines peuvent être facilement rencontrées à Mayotte, la tortue verte et la tortue imbriquée. Elle est appelée ainsi en raison de sa carapace dont les écailles se chevauchent au lieu d’être collées les unes aux autres.
Les bénévoles ne peuvent que constater les dégâts. Ils n’ont pas le droit d’intervenir.
Les braconniers ont changé de stratégie selon les bénévoles des associations qui tentent de les protéger. Ils ne se cachent plus sur la terre ferme où ils peuvent être vus par les membres des associations de protection de la nature ou attrapés par les forces de l’ordre. Car il s’agit d’espèces protégées et les sanctions peuvent être lourdes. Des peines de prison ferme ont été prononcées contre des personnes prises en flagrant délit.
Les chasseurs illégaux arrivent désormais par la mer la plus part du temps et enlèvent la bête puis repartent avec dans leur embarcation.
Deux espèces de tortues marines peuvent être facilement rencontrées à Mayotte, la tortue verte et la tortue imbriquée. Elle est appelée ainsi en raison de sa carapace dont les écailles se chevauchent au lieu d’être collées les unes aux autres.
Les bénévoles ne peuvent que constater les dégâts. Ils n’ont pas le droit d’intervenir.