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« J’étais maire de 2001 à 2008. On nous a vendu du rêve en 2014. Nous constatons aujourd’hui les dégâts. Je reviens pour montrer qu’il y a une autre façon de gére ». « Nous avons un déficit de 4 millions d’euros que nous devons résorber. L’équilibre financier est une urgence. La fiscalité locale est supportée par 20% de la population, ceux-là paient « plein pot ». Nous devons élargir à 50% d’ici un an et 100% à la fin de la mandature ». « Notre priorité est aussi l’éducation. Nous devrons par exemple prendre en charge les élèves exclus du collège pour les remettre sur le droit chemin ».