L’élu se dit persuadé que « l’aquaculture va reprendre». Il déplore que « le projet initié en 1999 soit parti en flammes ». Selon lui « il n’y avait pas de volonté politique de développer l’aquaculture.
L’Etat ne voulait plus financer. Comment se fait-il que l’on mette des millions dans la banane antillaise dont on sait qu’elle ne pourra jamais concurrencer la banane sud-américaine ou africaine ? Comme on met des millions dans la canne à sucre réunionnaise, confrontée à la canne mauricienne ? ».
Dominique Marot affirme que l’on a donné la nurserie de poisson à « une association de bras cassés qui l’a abandonnée ». « C’est malheureux de trouver dans les supermarchés des poissons qui viennent d’Asie. Les professionnels sont prêts à relancer cette filière, mais il faut qu’ils soient accompagnés financièrement ». Il dit avoir confiance dans le nouveau président du Conseil Départemental « qui a fait ses preuves à la tête de l’ADIM ».