Le phénomène est international, il prend de l'ampleur aussi à Tahiti. Entre végétarisme, végétalisme ou véganisme, nombreux sont ceux qui choisissent de bannir la viande de leur assiette.
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Un fromage sans lait, sans beurre ni aucun produit d’origine animal, dans un café alternatif, on sert des plats 100% vegan. La branche dure du végétarisme, qu'une jeune adepte a choisi depuis plus d’un an.
Une réponse aux problèmes écologiques et un engagement personnel lié à des convictions philosophiques. Les modes d’abattage des animaux repoussent de plus en plus le consommateur y compris les végétariens plus modérés, ceux que l’on appelle les flexivégétariens. Si l’approche est séduisante, elle doit être contrôlée et équilibrée. Alors peut-on se passer de viande sans risquer des carences ? Non répondent les nutritionnistes comme Tiphaine Verneau, diététitienne-nutritionniste de fonction.
Les réseaux sociaux et autre médias se font aussi l’écho d’un mode d’alimentation qui tend à devenir un véritable mode de vie.
Cette hygiène de vie, Evy Hirshon, auteur d’un livre de recettes végétariennes, l’a adopté il y a plus de trente ans. Aujourd’hui, elle encourage la consommation de produits locaux mais conseille un végétarisme progressif.
Les réseaux sociaux et autre médias se font aussi l’écho d’un mode d’alimentation qui tend à devenir un véritable mode de vie.
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