C’est l’autre comédien mahorais qui se fait remarquer sur youtube avec Bonbon lada. Nass comme bon nombre de jeune mahorais aime rigoler et faire rire, c’est tout naturellement qu’il se lance sur l’écriture de sketchs sur les réseaux sociaux en espérant la bonne étoile
Il est autodidacte mais son travail est acharné et finira par payer se persuade t-il . Said Ali Nassurdine, 25 ans, est originaire de Kaweni. Son nom d’artiste sera le diminutif de son prénom Nassurdine… Nass le comédien connu sous le Nom de NASS le comédien.
« Au lycée de Mamoudzou je faisais déjà rire, une copine m’a alors surnommé the best du rire. Les gens me cherchaient de partout juste pour que je leur fasse rire. Après avoir eu mon bac, direction la Métropole pour poursuivre mes études. L'idée de faire des vidéos humoristique est arrivée à une époque où je travaillais comme agent d'accueil au centre financier de Nantes, je mettais les gens à l’aise, on me comparait « à Eddy Murphy. »
Le soutien de son épouse sur ses projets a beaucoup joué à leur concrétisation. Il publie ses premières vidéos en avril 2014 en shimaoré, puis en français pour essayer d’atteindre un public plus large. Le studio TAREHI MUSIC se chargera de la production. Il dit aujourd’hui être influencé et s’inspirer d’Omar Sy qui est son modèle. Ses vidéos racontent des scènes de vie de tous les jours avec une pincette d’humour.
« À Mayotte on a beaucoup de talents que ça soit chant, rap, comédie, le sport et plein d'autres choses mais par manque de structure, ils ne sont pas repérés, il faut trouver sa voie et suivre sa petite étoile, qui sait ? (…) »
« Au lycée de Mamoudzou je faisais déjà rire, une copine m’a alors surnommé the best du rire. Les gens me cherchaient de partout juste pour que je leur fasse rire. Après avoir eu mon bac, direction la Métropole pour poursuivre mes études. L'idée de faire des vidéos humoristique est arrivée à une époque où je travaillais comme agent d'accueil au centre financier de Nantes, je mettais les gens à l’aise, on me comparait « à Eddy Murphy. »
Le soutien de son épouse sur ses projets a beaucoup joué à leur concrétisation. Il publie ses premières vidéos en avril 2014 en shimaoré, puis en français pour essayer d’atteindre un public plus large. Le studio TAREHI MUSIC se chargera de la production. Il dit aujourd’hui être influencé et s’inspirer d’Omar Sy qui est son modèle. Ses vidéos racontent des scènes de vie de tous les jours avec une pincette d’humour.
« À Mayotte on a beaucoup de talents que ça soit chant, rap, comédie, le sport et plein d'autres choses mais par manque de structure, ils ne sont pas repérés, il faut trouver sa voie et suivre sa petite étoile, qui sait ? (…) »